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Souffles, Vents Et Frais Heurts De Baux, Trombe, Troubles D’eau, Bains De Boue Et Urgences Sur Ter (re)

Souffles, Vents Et Frais Heurts De Baux, Trombe,  Troubles D’eau, Bains De Boue Et Urgences Sur Ter (re)

Chers frères et sœurs, amis (es), sympathisants, bénéficiaires du projet du Ter (autant dire Sénégalais, Sénégalaises…), je parlais ailleurs des vains agissements de ceux-là qui tentent d’embrumer nos esprits pour nous voir, croient-ils, éparpillés, renoncer de réclamer ce à quoi nous avons droit et en rapport à la création du collectif national des impactés par le projet du Train express régional. Les paroles de M. le président de la République, nous recevant dans ses rayons de miel géants à Diamniadio et qui disait que s’il est une seule famille dont l’équilibre est ébranlé par le projet, notre échec à tous restera patent quels que soient le nombre de cas résolus et notre rôle dans ce système, me poussent à affirmer la présence ici d’un défi autour de ce contrat social où nos histoires de rencontre et de séparation constituent un bain d’émotion qu’il nous faut prendre forcément dans ce cadre de concertation et de contestation, réaffirmer cette «nécessaire distance de sécurité en toutes choses». Un espace où circulent les vents, les souffles régénérateurs. Un espace de décontamination, un espace médian. Se l’aménagent ceux qui aiment leurs prochains, sans complaisance, contre eux-mêmes, contre leurs tentatives de généraliser l’abîme, de collectiviser l’effroi… Je puise ainsi le temps de l’Afrique…. lent à nul autre pareil, dans ces printemps de Felwine Sarr, insister, parler, motivé par cette extraordinaire (le qualificatif n’est pas de moi) compatissante attitude de Monsieur Macky Sall, nous engager cueillir ce soleil sur nos espoirs, prêcher afin que jeunes, vieux, hommes, femmes, dressés nous repoussions nos malheurs. Chaque jour. Et puis, parce qu’encore enchaînés en Troyat, nous pensons que l’expression de la douleur est une faiblesse dont l’âme des morts s’offense au paradis.

Hélas ! Et trois fois plutôt qu’une, nos jérémiades ne se sont guère jusqu’à aujourd’hui estompées, que persiste cette attente d’un accompagnement social et d’une prime de vulnérabilité que l’on menotte enquêter sur la réalité d’un tel statut chez telle et non telle autre personne quand les statistiques de l’Ansd, rejoignant les indicateurs du Plan Sénégal émergent sur certaines sévérités de la pauvreté et leurs incidences sur ces milieux urbains à semi-ruraux, prennent à les remettre dans des conditions d’existence meilleure qu’auparavant ces habitants recensés les moins nantis pour ne pas dire les plus atteints par cette précarité qui affecte plusieurs domaines de leur existence. Serviteurs du Ter, petits commerçants entre autres activités lucratives liées aux tontines, informelles ou non dont le train-train interrompu par les exigences de l’utilité publique, si elles ont été corrigées avec les calebasses de l’émergence, financement domicilié à la Der sur les instructions et recommandations du chef de l’Etat, dans un souci de l’intérêt général, n’ont seize (16) mois plus tard pas fait l’objet d’aucune couverture compensatrice dans certaines zones telles Keur Mbaye Fall, qu’un ban d’époque asseyait, annoncé bénéficier, d’une disponibilité de 15 (quinze) millions de francs Cfa, à en être pressé, supplié de déposer dans les plus brefs délais les dossiers se rapportant aux conditions d’octroi de cette aubaine qui, sitôt dites et ainsi faites, restent jusqu’ici nullement traités, encore et encore traînés, totalement ignorés enfin. A cette déveine déjà si tétanisante s’est alors greffé un manque de confiance généralisé, né chez les bailleurs, nouveaux acteurs sur un autre volet, surgis, sollicités par certaines familles insuffisamment indemnisées, victimes de la «fameuse libération sociale», locataires par la force des choses, en attente (qui perdure) d’entrer en possession de leurs parcelles de terrain, y construire et qui courtisés, logés, couvés auparavant par ces propriétaires enchantés alors de les encaisser jusqu’à leur dernier centime, se voient vidées par voie d’huissier, une procédure parmi d’autres procédés de séparation dorénavant inéluctables entre deux parties dont l’une dès ces moments, transbahutée comme il en est de ses bagages et préoccupations qui s’amoncellent au quotidien, ballotées, continue sa folle errance, brinqueballée comme ainsi que d’un fétu de paille sous la bourrasque, romanichelle, nomade si elle n’est recueillie par un frère, une sœur, un proche solidaire, plus ou moins à l’aise, s’apaiser des scenarios catastrophes ça et là échafaudés par leur entourage, les angoisser d’un oubli empirique de l’Etat à leur endroit, que semblent corroborer les incessants déménagements d’autres familles dans la même position qu’elles. Ainsi affectés à douter de la certitude d’une prise en charge de la totalité des avantages qu’ils croient devoir leur revenir, par le maître d’œuvre, des pans de fraternité entière, de convivialité, de consanguinité ou d’alliance s’effritent, éventés par des réactions nées de l’effet de tous ces agendas vidés par des séquences inattendues, survenues déplorables, leur inoculer la crainte d’un brusque dénouement paroxysmique de leur cauchemar. Diamniadio leur est ainsi devenue lointaine, inaudible et Felwine encore, qui disait de toute promesse qu’elle est un mensonge même quand elle se réalise, fixant ébranler notre certitude de ce 105e jour de l’année, effacer à jamais toutes ces avanies, semble malencontreusement être de plus en plus présent dans son interrogation exigeante – et la nôtre – d’une restitution qu’il dit être celle du sens des significations et symboles, se demandant comment alors réarticuler la rencontre avec cette part de soi qui s’est détachée et a été investie d’autres significations multiples. Il parlait d’objet… Etre de chair, d’os, irrigués de sang que sommes-nous donc devenus si rien n’est plus comme avant ? Et le Ter qui passe sur les omissions de la liste de répartition des parcelles, sur leur évaluation (en nombre) par rapport aux ménages recensés bénéficiaires, sur l’état d’avancement des aménagements des sites. Les visites guidées, rendez-vous débauchages, nous caresser, désormais attrapes nigauds, alourdissent l’atmosphère des ateliers de partage où pressurés, remémorés trouver des solutions de rechange, elles provoquent l’ire des impactés jusqu’à désarçonner et excéder des coordonnateurs qui depuis peu ne peuvent qu’atténuer l’effet de ces bogues, continuer vaille que vaille, se maintenir, suivre, apurer, ce qui achevé devra voir tout un chacun s’y retrouver.

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Il est c’est vrai des Pap qui, indemnisés, ont acheté des maisons consommables aussi vite qu’il leur était offert de le faire pour s’éviter la dislocation, privilégiés par d’autres, se reloger, encore que c’est le plus tôt possible ce qui les a assistés retenir ce qui leur restait de gravité, patienter dans ces nouvelles acquisitions, rassembler leur dignité, mais découvrir au fil des jours, navrés avoir été le jouet de spéculateurs, courtiers experts en roublardises et autres abus de confiance, gens outranciers, récidivistes qui se sont payé leurs têtes pour la plupart, en leur fourguant des «villas terrasses» révélées malheureuses anciennes bâtisses, rafistolées présentées belles, aux installations électriques vétustes ; à foyers lumineux finalement clignotants quand ils daignent servir, si ce ne sont les réceptifs d’eaux usées et fosses septiques débordantes de ces demeures mal élevées sur des zones à nappes souterraines insidieusement déferlantes, qui se muent en casse tirelires, que menacent de vider ces compléments de parts à faire, aux plafonds que l’on découvre à y regarder de près, anodinement fissurés et calfatés, épée de Damoclès en puissance suspendue au-dessus de leurs couvre-chefs. Une autre partie, quant à elle, retenue longtemps par ses occupations d’entrepreneurs, loin des rencontres hebdomadaires du collectif à quelques rares apparitions près, présenter des sourires radieusement crispés par la gêne, revient s’expliquer qui sur l’utilisation de son temps, s’installer, qui sur les dépenses de son argent dont il s’était servi pour se prémunir des présages d’oiseau de mauvais augure, acquérir un terrain nu à des dizaines de kilomètre de son quartier d’origine pour en amoindrir le coût, débuter, espérer finir le construire en vain, dès l’instant que les parcelles attendues en sus des indemnités tardaient à être livrées et que cette épargne que chacun s’évertue encore à ménager, menacée par des conjectures rendues indubitablement inquiétantes par des relents de crises financières, à bouleverser l’invariabilité des saisons, risquait d’être crevée… les revoilà ! Mains et besaces vidées par ces chantiers devenus une véritable gageure qui a terminé de les sucer et leurs économies avec, pour finir par s’arrêter, les reconduire ensuite, avoirs dispersés, eux dissipés, sur les chemins des réunions du collectif à la recherche d’informations tranquillisantes sur un restant à encaisser, qu’une opinion leur prédit improbable, illusoire à les aigrir davantage, grossir les rangs de ceux-là qui, entre le marteau de la délivrance de l’autorisation de construire déposée, que manient les communes au rythme de jours sans pains, s’arroger on ne sait trop comment de nouvelles prérogatives, sonnailles de leurs délibérations, et l’enclume de la Dscos on ne peut plus serre-file, désespèrent de ne savoir à quelle sainte quincaillerie se vouer, confier leurs kopecks, les refugier loin, très loin de leur propre convoitise qu’acère implacablement une attente de permission aussi longue que suspectée d’être intelligiblement entretenue pour on ne sait trop ou suppose plutôt pourquoi, à moins que ces terrains, autant celles acquises faute de … que celles attendues en … ne soient enchevêtrés, emmurés dans des litiges si indécents qu’on s’en lasse à en laisser oubliés de les citer comme cela, tous ces casse-têtes, et autres imbroglios, jusqu’à ceux-là de ceux-ci qui ont préféré à l’issue de concertations familiales après l’encaissement de leurs indemnités, s’approprier les parcelles contre leur renoncement à leur part des sommes d’argent qui leur étaient dévolues ; initiatives que certains d’entre eux commencent à regretter pour diverses raisons allant de leurs omissions sur les listes nominatives aux longues attentes d’être administrativement énumérés. Il nous reste encore présenter ces manquements dans l’absence d’une réelle prise en compte des effets et incidences du déplacement constant de certaines familles, liés ainsi que nous l’avons souligné, à leur manque de moyens de trouver un logis permanent et sur leur possibilité de maintenir sans interruption leur progéniture à leur lien initial de formation ou d’instruction, comme de décrier, aussi, un relâchement certain de la Cdrei dans le traitement des dossiers relevant de la libération des emprises, qui devait a priori diligenter la confection des documents afférents à l’obtention des titres d’échange, et nous nous répétons, exonérés de tous frais inhérents à ces notifications de baux, acquis sociaux et cela jusqu’au seuil de l’affection définitive accompagnée par un allégement notoire des contraintes temporelles, simplifier le circuit emprunté autant par les familles héritières que par exemple celles devant se soumettre à d’innombrables règles de conformité, qu’une représentation première de leurs intérêts par procuration a fini de faire subir les contrecoups embarrassants de ce genre de relation qui peut s’avérer quelquefois corrosif, surtout quand comme ici, elle est motivée par des transactions pécuniaires pouvant entraîner des désaccords. Elles sont là, des familles en-dessous de ces exercices au-dessus de leurs forces et moyens comme de leurs capacités intellectuelles, mal renseignées à s’en résoudre remettre au Créateur définitivement, à la résurrection, leur sort, leurs répondants d’ici bas ayant depuis jeté l’éponge et les puces de leurs portables avec, devenant ainsi injoignables et elles penaudes de se présenter devant le collectif, des efforts duquel elles ne croyaient guère à rire d’une bataille, disaient-elles, entre gouvernants et gouvernés comme d’une confrontation entre l’hyène et l’âne que simplifie nous rapporter, encourager, Zeyna K comme étant selon, Monsieur le ministre de la Fonction publique, «la mise en œuvre d’actions retenues dans chacune des composantes, accroître des capacités de l’Administration». Combat intelligent, d’une guerre rationnelle, qu’installent ces états d’urgence suscités par le Ter. Ainsi soit-il ! Parole sacro-sainte revient à l’Eternel de l’Armée des anges. Manipulée par nos politiciens, elle restera sans finalité, lassante jusqu’à s’user sans (à) rien servir, à se demander comme l’autre universitaire, maître de talent, nous accompagner, de qui l’on se moque, tenir lui, (r) enseigner qu’un pays ne peut être grand que si la fonction présidentielle y est respectée. Son Excellence Monsieur Macky Sall nous a assuré de sa mainmise intelligente sur la chose qui nous concerne, rassuré de son intégrité par son souci de l’équité et de cette fermeté qu’il a influente pour nous installer sereinement, bénéficier légalement d’une autorité morale en relation à toutes ces lois qui autorisent et protègent nos propriétés privées, de même qu’elles en limitent la jouissance et nous imposent des devoirs envers la collectivité.

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Tenez ! Communiquer partout où besoin sera, afin que nul n’en ignore, nous conseillait Mme Faye Sall, Première dame servir le Sénégal, quand son Excellence le chef de l’Etat nous facilitait la fréquentation d’une demi dizaine d’oreilles de sa proximité, attentive à nos préoccupations qu’il souhaite aussi soutenir, nous entendre de vive voix les lui rapporter, bien que des rapports lui parviennent, synchroniques avec l’information relative au projet. Notre devoir, nous la pratiquons depuis sur ce travail, cette mission au quotidien par ce suivi en atelier et tous les Pap avec, du calendrier d’exécution du Pcr, notamment en ses rubriques 15 à 16.3 du document du groupe de la Bad sur lequel la mise en œuvre d’un système administratif de diffusion de l’information déjà préconisée par M. le premier magistrat élu et fortement attendue par le collectif, a beaucoup de mal à voir le jour répondre à toutes ces attentes, après la parution il y a des lustres déjà d’un arrêté, ordonné par l’ex-Premier ministre Monsieur MBA Dionne lui-même – un homme bien, soit dit en passant, et de biens, souhaités partagés – étincelle de cette vision distendre disions-nous un humanisme commun que nous ne négligeons point à en réclamer son relais par des notes de service et/ou circulaires, notes d’information affichées, courriers d’entreprise à distribution exceptionnelle, placardés accessibles au niveau des structures interpellées sur cela qui commencent à épouser les contours d’un labeur qui gagnera d’une telle orientation, ou décryptage moins affecté, hors d’influence pour en être infecté ; et permettre ainsi à la Pbp (Personne bénéficiaire du projet) d’éluder certaines bravades à laquelle elle se heurte impuissante. De ce fait, normativement outillée, informée, elle pourra obliger sa personne, faire montre de cette responsabilité dont elle est tributaire, investie qu’elle est, depuis la prononciation de cette si importante mesure dans ce lieu, Diamniadio, dont les éco-quartiers font la fierté du Sénégal émergent face aux exigences des objectifs du développement durable et se tranquillisera d’être bien et très bien servie le moment venu. Il a plu au Seigneur des mondes qu’il ne puisse en être autrement.

Directeurs généraux et autres chefs de service concernés doivent éperonner leurs courriels, faire réanimer sans complexe ces nécessaires leviers, éviter que l’on s’étonne ici même d’une République sans républicain dévoué. Bref, nos acquis doivent être consolidés, sans confusion. Le raisonnement que requiert leur contrepartie doit revêtir une forme, un caractère explicite, tout doit être recadré sur des bases aussi solides qu’existantes. Ce récent Pama atteste à suffisance de la volonté de notre pays d’expérimenter le fast track dans ce rôle de participation permanente au service civique dévolu à notre Administration, mais aussi dans cette attitude de volontarisme spontanée qu’une partie de la société civile adopte à l’image du leadershipment inspiré par son ex-Excellence B. Obama préconisé à l’endroit des jeunesses américaines servir leur pays et partant l’humanité tout entière, repensé et réactivé cependant autrement dans cette sphère nôtre, mais commune parce que inhérente à cette même détermination généreusement globale d’un voisinage planétaire à visage tout simplement humain. Je recopie encore parler comme l’autre d’évaluations initiales fragiles quand M. Macky Sall, grand dans l’attitude, fustige des statistiques qui, manquant de fiabilité, peuvent désaxer… Souleymane B. Diagne préfaçant des méditations d’une corpulence discursives inégalables, maintenait contigu, soutenir que de partout on peut s’élever vers le ciel. Nous le suivons aujourd’hui – que tout nous semble réduit à rien – avec l’esprit c’est-à-dire la force de croire comme il l’affirme, regarder encore vers le haut, souhaiter après que nous l’ayons cueilli de l’almanach, entendre le coq chanter à midi, signe d’un temps de Paradis. Attendre avec Ahmadou Kourouma, la promesse du vivant, d’un immense bonheur après toutes ces épreuves… l’abaissement des passions, la tolérance de l’autre. Nous sommes partis, ayons quitté ces lieux si chers, dénudés de leurs milles et milles métaphores sans excipient dissoudre cette galène en nous, laissant d’autres de nous, dont chaque avancée du processus vers l’exploitation du réseau, ligature autant psychologique qu’entrave à leurs mobilités, accentuera l’inadaptabilité au parcours et à leur environnement corrigé, rapparié à l’impétuosité du temps, suffisante agression pour la convocation d’une Rse par le collectif rejoindre l’Apix sur ce maintien que son Excellence M. le président de la République ramène en rapport à la gouvernance normative des agences d’exécution quant à leurs obligations de préservation des moyens d’existence et autres éléments de la richesse ou de la puissance de la Nation et sur laquelle il leur incombe de veiller, se battre contre les détournements d’objectifs, débusquer les combinards, faux dévots et autres menteurs, oser parler de ce qui fâche, poser le doigt sur une situation à prévoir, dès l’instant qu’elle s’interroge du comment, où, quand et pourquoi, suivre et vivre rendre fonctionnel un plan de prévoyance risque à même de pouvoir répondre aux mesures recommandées par le Pcr suscitant développer une entente la plus large qu’elle puisse être, garroter ces désastres récurrents que sont, pour ne citer que celles-là, les inondations, si l’on ne jette un regard considérer cet aspect nouvel de catacombes en puissance que présentent ces cales puantes, meurtrières bassines, piscines ouvertes, apparemment sèches, dépotoirs naturels d’immondices autour des marchés spontanés, florissantes plaies de chantier, entourer le trajet du Ter parsemé d’amas de sable et pierrailles, gravats de consistance friable, argileuse à s’affaisser sournoisement en cette saison. Ce souhait en l’état depuis une première rencontre aux contours d’une communication dynamique fort appréciée et que l’on prévoyait cyclique jusqu’à l’aboutissement d’une implication totale de tous ceux-là gravitant autour des engagements pris ou à prendre, liés aux politiques et degré de conformité définis par la règlementation en vigueur en amont comme en aval leur donner la possibilité de se mirer constamment, se remettre en question, allumer les faisceaux d’inquiétudes des habitants de ces zones menacées, éclairer cette évaluation continuelle du niveau de reconstitution et de poursuite de l’activité des Pap, semble jusque-là incertain d’être réalisé, s’éternise à adopter un système de veille consensuel. Certains acteurs déjà à la peine, fébriles et complément excités jusqu’au dépassement de leur propres moyens, piaffent d’impatience d’agir, s’arc-boutant à de prolifiques assurances encore stériles quant d’autres s’époussètent eux le fond de pantalon décidés de ne plus participer à ces simulacres de partage qu’ils disent, fausser une réelle prise en compte des paramètres sociaux, propres à un espace de vie à soubresauts conjonctivaux ; ce qui fait qu’ainsi prise ou telle pensée, l’établissement d’activités de surveillance par des brigades de quartier, à même d’intervenir dès qu’elles seront dotées du matériel adéquat destiné aux tâches premières, auxquelles elles sont rompues, donc faciles d’exécution, poussée et repoussée ; diffuse les prodromes d’un laisser-aller vers un pis-aller qu’accélère cette situation latente qui commence à s’habituer de sa possession par ce temps propice aux précipitations et aux rouspétances de ceux-là qu’une peur d’être laissé pour compte, agrippe. Il s’agit, gardons nous de l’oublier, de ces populations, usagers, dont on veut l’intégration à côté de l’agent public dans la réalisation des objectifs d’émergence insiste Monsieur le président de la République qui sont concernées, garder l’espoir et cacher leur désespoir si bien qu’il nous faut, disait A. Fantouré, retenir face à celui-là qui attend, souffre et vit, qu’aussi étonnant que cela puisse paraître, les misérables sont apparemment les seuls à comprendre le sens du sourire, qu’il semble que pour eux c’est un jet de lumière dans les ténèbres… Ils attendent !

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Que l’Eternel garde le Sénégal, Son Président, vous et nous tous dans un univers de paix ! Salut !

Mamadou Diabé WADE

Collectif des impactés du Ter

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