Nul ne sait mesurer exactement le poids relatif des intérêts, des croyances, des émotions dans les affaires humaines, mais on peut supposer que les débordements émotionnels, s’ils ne sont pas le moteur de l’histoire, contribuent grandement à en orienter le cours. D’ailleurs, selon Jean François Dortier, les politologues et historiens prennent de plus en plus […]