Pour une solution au problème de Ndingueler, il faut recourir à un principe du droit international, qui peut bien s’appliquer au niveau national, celui de la mise sous tutelle.
En d’autres termes, l’Etat détenteur de la puissance publique, mettra la partie de terre objet de litige sous administration d’une personnalité indépendante, avec autorisation pour les paysans du village d’y pratiquer leurs activités agricoles.
En même temps, les négociations vont se poursuivre pour une solution définitive.
Ainsi, les paysans n’auront pas le sentiment que leur propre terre leur est prêtée par une personne étrangère, et Babacar Ngom n’aura pas le sentiment d’avoir renoncé à une propriété sous l’effet de la pression.
C’est ce que les négociateurs appellent la « zone d’accord préférentiel »
Habib Sy Ancien ministre d’Etat.
Commentaire sur “Quelle Solution Pour Ndingueler ? (par Habib Sy)”
Avons-nous réellement besoin de cette médiation internationale ?
La seule et unique radicale solution e… https://t.co/rApNOD0EdM