Depuis le 17 décembre 2019 qu’elle a pris son envol officiel à Dahra Djoloff, au Sénégal, Suudu SAS suit son bonhomme de chemin dans la plus absolue discrétion qui jure d’avec l’adhésion massive d’hommes et de femmes de tous horizons et de divers corps socio-professionnels. Ainsi se traduit et se matérialise le rêve de celui qui en est le créateur et le promoteur: Monsieur Abdourahmane Ka dit Ngadiel. L’homme d’affaires sénégalais qui a, plusieurs années durant, soutenu les couches démunies en les aidant au quotidien à règler des besoins élémentaires de survie, a décidé de mettre sur pied une société à actions simplifiées qui, à terme, devrait les rendre autonomes.
Pour une action de cent mille francs CFA souscrite en individuel ou en groupe, chaque sociétaire est en droit de s’attendre à être associé, dans son domaine socio-professionnel de prédilection, à une activité génératrice de revenu dans laquelle il pourra s’épanouir.
En sus de cela, Suudu men SAS s’appuiera sur les actions réunies pour monter un certain nombre d’infrastructures industrielles dans les domaines cibles où les enfants des sociétaires pourront trouver du travail suivant leurs compétences et leurs domaines d’études quand eux-mêmes prètendront en toute légitimité aux dividendes pourvues par lesdites infrastructures. Au demeurant, Suudu men SAS ne cible pas une seule communauté ni un seul groupe socioprofessionnel. Loin s’en faut. C’est une société inclusive qui cible un développement global qui part de la base pour atteindre le sommet, avec des ambitions de maillage sous-régional et régional.
Après une demi-année d’existence en est encore à l’enregistrement des souscriptions qui ont certes atteint le pic depuis quelques mois mais qui se poursuivent en parfaite adéquation avec l’approche et le modèle de société choisis.
Les organes ont connu un début de mise en place pour permettre à la société d’être opérationnelle avant le démarrage officiel des activités proprement dites.
Ainsi, Suudu men SAS a un président en la personne du promoteur, un coordonnateur, un conseil de surveillance d’une douzaine de membres coiffés par un président. Les actions sont souscrites dans, au moins, trois banques de la place et suivies par un notaire qui en assure la surveillance et la veille juridique.
Ce modèle de société qui en a séduit plus d’un promet un déploiement dans toutes les activités socio-professionnelles pour autonomiser ses membres et tous les travailleurs des différentes infrastructures qui seront montées avec l’argent des actions. L’agriculture, l’élevage, la pêche et l’artisanat auront la part belle et permettront de financer des secteurs comme l’éducation, le tourisme, la communication, les multimedia etc.
Cette initiative privée viendra en appoint aux activités de l’Etat qui, on ne le sait que trop, ne peut pas tout faire. Vivement qu’elle se réalise et se démultiplie à travers toute l’Afrique.