Senghor disait malicieusement : « ngür kén dou ko niĕd ». La maxime de l’ancien Président, prononcée en 1981 devant le Khalife général des Mourides, Adoul Ahad MBACKÉ (Yalla taas ňu ci barkém), prend tout son sens, davantage aujourd’hui. Elle doit interpeller plus d’un, particulièrement nos dirigeants. Au regard de la triste actualité du pays…