La France catholique est dans la gadoue. La fille ainée de l’Eglise nous révèle que de 1950 à nos jours, des serviteurs de Dieu abusaient de leurs ouailles. Plus de 350 000 victimes dénombrées et pas encore de réaction officielle du Clergé nonobstant la honte exprimée par la Pape.
Comme certains de nos oustaz, ces prêtres pédophiles s’en donnaient à cœur joie avant et après les messes. Après toutes ces années de galère et de misère, la lumière est donc mise sur les drames endurés par ces fervents enfants hier et vieillards pantouflards aujourd’hui. Au-delà des drames individuels causés par ces agressions pédophiles et ponctués de lourds silences de détresse et d’indélicatesse, les rédacteurs de ce rapport de feu n’ont trouvé rien d’autre que de réclamer des indemnités pour ces pauvres brebis.
Comme toujours en Occident, ils pensent que l’argent règle tous les maux. Et pendant ce temps, chez nous, les pauvres victimes des maitres coraniques croupissent dans le silence. Victimes de l’indifférence et de l’insouciance des autorités religieuses ou autres, la plupart finissent homosexuels s’ils n’ont pas eu la force de caractère de se transcender. Comme toujours l’adage qui nous dit que quelquefois malheur est bon nous interpelle sur la survenue de cette enquête. La plupart des régimes actuels en Occident défendent les idéaux LGBT. Alors que personne ne soit surpris quand d’autres révélations aussi sulfureuses seront mises en pâture. Encore que nul ne doit être satisfait de ces agissements intolérables de l’église française.
Abuser des enfants me semble une ignominie inacceptable partout où cela puisse se passer. A la paroisse, à l’école, au daara ou ailleurs, tous ces malfrats de tous les cieux, sous la couverture douillette d’hommes de Dieu, ne sont que des pervers et des prédateurs de la pire espèce. La défense de l’enfant et de la mère, de l’orphelin et de la veuve doit être l’apanage de toutes les strates de la société.
Alors confier pour adoption ces anges à des couples LGBT qui ne peuvent nullement procréer me semble une parfaite aberration. Deux hommes vivant comme mari et femme parce unis juridiquement peuvent bien élever un gamin mais pas l’éduquer. Qu’est- ce qu’ils pourront lui inculquer sinon leurs vices. Et du vice ne peut sortir le bien ! Dieu nous préserve de cette gadoue.