On célèbre le 8 mars, symbole de la lutte des femmes. Le respect de la femme figure parmi les cinq valeurs cardinales de Tekki et sa doctrine, le responsabilisme.
Pour nous, respecter la femme, c’est défendre la famille. Dans notre constitution et notre république, la famille c’est un homme, une femme et des enfants. Pas de place pour les LGBT et ceci comme clause d’éternité.
Nous avons salué et voté la criminalisation du viol. De même, nous luttons pour la criminalisation de l’homosexualité et des pratiques LGBT. Il faut mettre fin à l’agenda sournois des pro LGBT qui mènent leur campagne de recrutement dans les bandes dessinées, les séries télévisées, et si on n’y prend garde, dans les écoles.
Nous devons défendre la famille face aux agressions de toutes sortes, de la part de ces courants libertins venus d’ailleurs. Celle-ci a besoin de paix.
Le monde occidental nous a promis la paix et la prospérité après la chute du mur de Berlin en adoptant la démocratie et l’économie de marché. C’est chose faite en Afrique peu ou prou. Pour l’instant, on a ni prospérité, encore moins la paix. La Somalie, la Libye et le Sahel sont déstabilisés. Et cette guerre d’Ukraine, dans laquelle nos compatriotes sont piégés et vivent le racisme stupide, va rendre la vie plus difficile pour les familles et les femmes avec la hausse du coût de la vie.
Notre Intérêt n’est pas dans un alignement compradore derrière l’OTAN, mais d’œuvrer pour un arrêt des hostilités et l’ouverture de négociations, si tant est que l’Union africaine a une voix dans ce monde.
Mamadou Lamine Diallo, Président du mouvement Tekki.