Senexalaat - Opinions, Idées et Débats des Sénégalais
Opinions, Idées et Débats des Sénégalais

En Faveur De Grands Arcs De Coalitions Pour Diomaye

En exorde, entrée en matière donc, je dis : pour un « Sénégal 2024-2029 : avec des réformes (r)évolutionnaires, à partir du 18 novembre 2024.

La bonne expression en wolof, pour traduire la situation actuelle, je le dis avec ce vieil adage, qui est : « Pënd Bi Wuri Na ».

En clair, en français : « la poussière est définitivement retombée ».

Dès lors, il est temps de se déterminer. De faire savoir que l’on (s’) est déterminé. Si tant qu’on ne l’avait pas fait. Se déterminer, le faire savoir, et travailler à faire prévaloir, par sa contribution, la victoire définitive de son choix politique, de son choix de projet de société, à construire collectivement.

Je me suis déterminé publiquement en février 2022, après avoir rompu ma collaboration professionnelle de 4 ans (dont deux ans comme consultant senior (ce que j’ai repris en juin 2024, avec la même entité) et deux ans comme salarié) avec une agence publique de l’État sénégalais : pour être à l’aise dans mon soutien pour la présidentielle du 24 mars 2024, à un candidat de l’opposition.

Et avant le scrutin du 24 mars 2024, j’ai publiquement appelé à élire et faire élire Bassirou Diomaye Faye, à qui également sont allés mon bulletin de vote, celui de toute ma famille proche et large, parents et alliés ; de tous les autres sympathisants ou indécis que j’ai pu convaincre. Dans une ambiance enthousiaste et optimiste, avec le soutien unanime de mes enfants, neveux et nièces, notre jeunesse, futurs responsables de notre pays : « Nous n’héritons pas de la terre – et du Sénégal – de nos parents, nous l’empruntons à nos enfants. » Prenons toujours notre jeunesse en compte, dans le choix de nos engagements et la décision sur nos options.

Depuis lors, j’ai pu, peut-être (mais à tort !), être perçu comme une voix trop critique des actions de ce que j’appelle le GOS (Gouvernement Ousmane Sonko) et j’ai pu même être perçu comme un néo-opposant au Projet présidentiel de Jub, Jubal, Jubbanti du président Diomaye. Que nenni ! C’est une erreur d’appréciation sur mes valeurs et sur ma cohérence idéologique : c’est tout simplement parce que, « qui aime bien châtie bien ». Et « qui aime beaucoup, châtie beaucoup ! ». Et parce que je souhaite ardemment le succès de ce GOS du président Diomaye.

Car, si Diomaye, son gouvernement actuel dirigé par mon voisin à la cité Keur Gorgui, Ousmane Sonko, et les futurs attelages gouvernementaux à venir à partir des législatives, si ceux-ci échouent : « l’espérance sera tuée » pour au moins une génération dans ce pays, soit pour les 20 prochaines années. C’est en tout cas ma conviction et celle de bon nombre de mes interlocuteurs. GOS du président donc, qui n’a jamais eu les moyens législatifs (obligation institutionnelle et républicaine incontournable!) de « livraison » (delivery) du « Projet » présidentiel diomayesque de « Jub, Jubal, Jubanti ». Parce que je souhaite que le GOS n’ait pas eu les pieds, constamment ou en tout cas souvent, empêtrés, comme ces six derniers mois, un peu trop m’a-t-il semblé, dans des « conversations politiciennes » nationales et internationales brouillant le cap tenu, soulevant beaucoup de poussière et qui auront donné un rhume de cerveau, peu ou prou, à beaucoup d’entre nous autres Sénégalaises et Sénégalais, adultes, jeunes et seniors, depuis un bon semestre.

A LIRE  Relations France – Mali: La voix de son maitre (Guimba Konaté)

La 14e législature congédiée jeudi 12 septembre 2024 a fait dans l’obstruction systématique. Nous avons été dans un tourbillon institutionnel avec beaucoup de poussière. Même l’administration (ayant l’obligation contractuelle, en tant que fonctionnaires au service de l’État, d’être neutre et coopérative avec le nouveau régime politique choisi par les Sénégalais dès un premier tour au résultat historique, car inédit), cette administration sénégalaise a traîné des pieds, dans la mise en œuvre et l’exécution des décrets du président Diomaye et les directives du GOS : par exemple, dans l’agence gouvernementale que j’ai quitté en février 2024 de mon plein gré alors que mon contrat courait encore jusqu’en octobre 2024, il a été mis fin aux fonction du Directeur général le 24 avril dernier. Toutefois, la personnalité qui a été nommée le 24 avril pour le remplacer à cette haute fonction, n’a pu faire la passation de service et prendre officiellement fonction que… fin août dernier ! Du fait de lenteurs (pas toujours innocentes) dans le circuit administratif.

Beaucoup de poussière, oui, qui nous aura pratiquement fait perdre huit mois (avril-novembre) fait perdre du temps à notre belle jeunesse en attente de solutions structurelles, fait perdre du temps à nos enfants si ardemment motivés par le duo formé par Diomaye et par PROS, Premier ministre Ousmane Sonko.

« Pënd Bi Wuri Na, nak », comme l’écrirait notre cher ami écrivain en wolof Bubakar Boris Joob.

Oui, la poussière qui nous a embrumé si longtemps est retombée définitivement, au soir du jeudi 12 septembre 2024, avec la fixation de la date du 17 novembre 2024, pour les élections législatives, devant mettre en cohérence, ce qui est tout naturel, la plus récente légitimité de l’incarnation républicaine et humaine de la présidence de la République (celle exprimée par nos compatriotes d’ici et de la diaspora, le 24 mars) ; mettre en cohérence donc, cette légitimité supérieure principielle, avec le corps parlementaire à venir et à advenir, qui doit refléter cette légitime présidentielle la plus proche de nous dans le temps, pour l’adoption des lois appliquant les projets et programmes réformateurs du président Diomaye, jusqu’en mars 2029.

La poussière est retombée. Remercions-en les mânes de nos ancêtres. « Car, il est plus que temps de « finir de commencer ! « .

Aussi, tel que je me suis déterminé depuis… août 2023 (…), dans le compagnonnage avec un candidat de l’opposition d’alors, devenu depuis décembre 2023, membre du futur camp présidentiel plébiscité par le peuple ; autant, depuis ce jeudi 12 septembre 2024 à 20h07 (heure de fin de l’adresse à la Nation du président Diomaye), j’indique, je renouvelle et reconfirme mon adhésion confiante, mon espérance et mon « adhérence » en faveur de la majorité parlementaire diomayesque qui doit être portée à l’Assemblée nationale, à la sortie des urnes, au soir du dimanche 17 novembre 2024, inch’Allah.

J’appelle, je plaide et je travaille, en faveur d’une nouvelle et large coalition de « grands arcs de coalitions parlementaires », se réunissant pour former la majorité présidentielle élargie, en un beau patchwork de « diversité dans l’union » – car, l’union est un combat -, soutenant l’action réformatrice de Diomaye, à travers des nouveaux députés à élire, dont l’action parlementaire se devra majoritairement de refléter le « Projet » plébiscité de Jub, Jubal, Jubanti.

A LIRE  OUSMANE SONKO FAIT PARTIE DU BILAN DE MACKY SALL

Avec aussi ce credo, qui est mien et dont je travaille à ce qu’il soit le plus largement partagé et majoritairement nôtre, dans ce qui sera réglé au fond des urnes au soir des élections législatives du dimanche 17 novembre 2024 : « Sénégal 2024-2029 : pour des réformes (r)évolutionnaires ! »

Ne me demandez pas la neutralité partisane : je suis éditorialiste-communicant et non journaliste, depuis au moins l’année 2018.

J’ai été journaliste, à temps plein ou à temps partiel, de 1997 à 2018 : radio Nostalgie, quotidien Le Matin, hebdo Le Témoin, magazine Notre Afrik (Bruxelles), quotidien Tract (première formule tabloïd, de 2000 à 2002), service de communication du ministère de la Communication (2010-2012).

Pour ce qui est, au jour d’aujourd’hui, de mon média numérique Tract.sn, dont je suis fondateur-éditeur depuis le 8 mars 2018, il est dirigé depuis 5 ans, de main de maître par mon cher ami et frère, l’excellent journaliste Cheikh Tidiane Coly, 25 ans de métier, Directeur des Publications, pour notre média numérique Tract.sn, comme pour notre journal périodique numérique « Tract hebdo » (disponible chaque jeudi sur « Youscribe proposé par Orange » (Youscribe.com), la librairie digitale au 1 millions de titres de presse, livres et podcasts.

Cheikh Tidiane Coly, Directeur des publications donc, est très à cheval sur l’éthique et la déontologie, dans notre média numérique indépendant Tract (adresse e-mail pour joindre la rédaction de Tract.sn et de Tract Hebdo : contact@axes-et-cibles.com), ce qui est attesté, si besoin en est, par notre intégration depuis décembre 2023, au sein du processus de certification JTI initié par l’ONG « RSF » (Reporters Sans Frontières). Ce qui est également attesté par notre obtention de notre part de l’Aide à la presse annuelle de l’État sénégalais, depuis 4 années consécutives.

Pour en revenir au sujet principal : au titre de mon engagement résolu, et parce qu’il n’y aura pas assez de places sur la liste principale (nationale et départementales) des candidats à la députation du camp présidentiel Diomaye et ceci, pour plusieurs facteurs, dont ceux-ci :

– les suppléants, élus députés de Yewwi Askan Wi (YAW) en juin 2022 à la place des titulaires forclos, ces députés-là devant être légitimement reconduits comme candidats.

– la Coalition Diomaye Président, autour du Projet, ayant été composée de plus de 100 organisations politiques alliées en mars 2024. Alors qu’en juin 2022, YAW avait dans sa coalition pour les législatives, « seulement » une vingtaine d’alliés.

Aussi, j’en appelle à une large ouverture des listes de « Grands Arcs de Coalitions pour la Victoire Parlementaire Majoritaire Présidentielle », soutenant l’action réformatrice du président Diomaye, y compris donc, par la présence dans la compétition aux élections législatives d’organisations politiques alliés de Diomaye, sur d’autres listes ou coalitions, dans l’émulation, pour aller dans le sens de l’élargissement et du renforcement de la base sociologique du président de la République Bassirou Diomaye Faye dans nos villes et dans nos communautés rurales, partout au Sénégal; Listes coalitions jumelles, qui composeront – c’est, en tous les cas, mon vœu et l’objectif auquel j’apporterai ma contribution personnelle – la prochaine majorité parlementaire de Diomaye.

De ce point de vue, je pense notamment à des listes ou coalitions du camp présidentiel Diomaye Faye (dont le nom et l’image ne devront pas être utilisés pendant la campagne électorale, étant donné qu’il incarne l’Institution Républicaine présidentielle et est la clé de voûtes des institutions de notre République) qui pourraient venir de – ou être inspirées par-, ces leaders confirmés que sont, par exemple, celui du parti SET (Sénégal en Tête), de mon frère  le ministre Moustapha Guirassy, parti dont j’ai été membre-fondateur en 2017, parti qui a fait gagner le président Diomaye dans la région de Kédougou, parti SET promoteur du « talibéship ».

A LIRE  LA FRANCE, OUSMANE SONKO ET NOUS

Ou encore, le parti UDP Kiraay de mon grand frère, le probe ministre (il a cornaqué le Budget de notre pays avec une exemplarité sans failles, pendant cinq ans) et Inspecteur Général d’État Birima Mangara, qui a fait gagner Diomaye dans la région de Diourbel. Parti UDP Kiraay, que j’accompagne.

Ou enfin, le parti Awalé du Dr Abdourahmane Diouf, ce dernier avec lequel j’ai partagé le pôle de Coalition du candidat Idrissa Seck en 2019, alors soutenu par le parti SET de Moustapha Guirassy, dont j’étais alors le secrétaire national en charge de la Communication, des Questions Éducatives et de la Coopération Africaine. Au titre de ce pôle de communication Idy 2019, j’ai encore le bon souvenir d’un duel télévisé de 60 mn et en direct live entre moi-même Ousseynou Nar Gueye (pour Idrissa Seck) et Idrissa Diabira, coordonnateur de l’élaboration du programme Yonnu Yokkuté (pour Macky Sall), sur la SEN-TV, un vendredi soir de fin janvier 2019, à trois semaines de l’élection présidentielle du 24 février 2019, duel politique modéré par l’excellent journaliste Ben Mactar Diop*

Je m’en arrête là, tant il est vrai que : « ku liim juum » (adage sénégalais qui signifie : « quand on cite des noms, on risque toujours d’en omettre »).

Je m’engage résolument, je le répète, pour un « Sénégal 2024-2029 : avec des réformes (r)évolutionnaires dès novembre 2024 ! ».

Jub, Jubal, Jubbanti, nous en sommes d’accord et confiants. Mais, aucune œuvre ne sera parfaite, car, « Juumte du wees. Juumte du wéy. Mag di na juum, ndaw di na juum, Kilifa dina juum ak surgaam dina juum… ! Nit Ku dul juum, aamul!

Jub, Jubal, Jubbanti : y compris – c’est même souhaitable, opportun, sinon nécessaire ! – en apportant au président Diomaye Faye, dans sa future majorité parlementaire de novembre 2024, la force d’impact et la qualité de vision de porteurs d’une « troisième voie », appartenant toutefois au camp présidentiel Diomaye, et veillant à maintenir les équilibres pour préserver notre pays de la survenance, de la permanence ou de la récurrence d’affrontements socio-politiques clivants, qui déchirent possiblement notre tissu social.

Que les grâces divines abondent dans « Sunugaal », notre pirogue à tous, qu’on ne laissera personne faire chavirer.

Et pour reprendre la fin de cet adage sénégalais, tel que dans la fin de la chanson « Juum » de Youssou Ndour à lui consacré »: « Ngeen baalma…,.man mii sax, da méy juum ».

Vive la patrie.

Vive la République.

Vive le Sénégal.

Ousseynou Nar Gueye est fondateur-éditeur du média numérique Tract (depuis 6 ans, www.tract.sn), Directeur Général d’Axes & Cibles Com (depuis 5 ans, www.axes-cibles-com.sn).







En Faveur De Grands Arcs De Coalitions Pour Diomaye

En exorde, entrée en matière donc, je dis : pour un « Sénégal 2024-2029 : avec des réformes (r)évolutionnaires, à partir du 18 novembre 2024.

La bonne expression en wolof, pour traduire la situation actuelle, je le dis avec ce vieil adage, qui est : « Pënd Bi Wuri Na ».

En clair, en français : « la poussière est définitivement retombée ».

Dès lors, il est temps de se déterminer. De faire savoir que l’on (s’) est déterminé. Si tant qu’on ne l’avait pas fait. Se déterminer, le faire savoir, et travailler à faire prévaloir, par sa contribution, la victoire définitive de son choix politique, de son choix de projet de société, à construire collectivement.

Je me suis déterminé publiquement en février 2022, après avoir rompu ma collaboration professionnelle de 4 ans (dont deux ans comme consultant senior (ce que j’ai repris en juin 2024, avec la même entité) et deux ans comme salarié) avec une agence publique de l’État sénégalais : pour être à l’aise dans mon soutien pour la présidentielle du 24 mars 2024, à un candidat de l’opposition.

Et avant le scrutin du 24 mars 2024, j’ai publiquement appelé à élire et faire élire Bassirou Diomaye Faye, à qui également sont allés mon bulletin de vote, celui de toute ma famille proche et large, parents et alliés ; de tous les autres sympathisants ou indécis que j’ai pu convaincre. Dans une ambiance enthousiaste et optimiste, avec le soutien unanime de mes enfants, neveux et nièces, notre jeunesse, futurs responsables de notre pays : « Nous n’héritons pas de la terre – et du Sénégal – de nos parents, nous l’empruntons à nos enfants. » Prenons toujours notre jeunesse en compte, dans le choix de nos engagements et la décision sur nos options.

Depuis lors, j’ai pu, peut-être (mais à tort !), être perçu comme une voix trop critique des actions de ce que j’appelle le GOS (Gouvernement Ousmane Sonko) et j’ai pu même être perçu comme un néo-opposant au Projet présidentiel de Jub, Jubal, Jubbanti du président Diomaye. Que nenni ! C’est une erreur d’appréciation sur mes valeurs et sur ma cohérence idéologique : c’est tout simplement parce que, « qui aime bien châtie bien ». Et « qui aime beaucoup, châtie beaucoup ! ». Et parce que je souhaite ardemment le succès de ce GOS du président Diomaye.

Car, si Diomaye, son gouvernement actuel dirigé par mon voisin à la cité Keur Gorgui, Ousmane Sonko, et les futurs attelages gouvernementaux à venir à partir des législatives, si ceux-ci échouent : « l’espérance sera tuée » pour au moins une génération dans ce pays, soit pour les 20 prochaines années. C’est en tout cas ma conviction et celle de bon nombre de mes interlocuteurs. GOS du président donc, qui n’a jamais eu les moyens législatifs (obligation institutionnelle et républicaine incontournable!) de « livraison » (delivery) du « Projet » présidentiel diomayesque de « Jub, Jubal, Jubanti ». Parce que je souhaite que le GOS n’ait pas eu les pieds, constamment ou en tout cas souvent, empêtrés, comme ces six derniers mois, un peu trop m’a-t-il semblé, dans des « conversations politiciennes » nationales et internationales brouillant le cap tenu, soulevant beaucoup de poussière et qui auront donné un rhume de cerveau, peu ou prou, à beaucoup d’entre nous autres Sénégalaises et Sénégalais, adultes, jeunes et seniors, depuis un bon semestre.

A LIRE  Pape Diop, Premier Ministre de la République du Sénégal ! (Ansoumana Dione)

La 14e législature congédiée jeudi 12 septembre 2024 a fait dans l’obstruction systématique. Nous avons été dans un tourbillon institutionnel avec beaucoup de poussière. Même l’administration (ayant l’obligation contractuelle, en tant que fonctionnaires au service de l’État, d’être neutre et coopérative avec le nouveau régime politique choisi par les Sénégalais dès un premier tour au résultat historique, car inédit), cette administration sénégalaise a traîné des pieds, dans la mise en œuvre et l’exécution des décrets du président Diomaye et les directives du GOS : par exemple, dans l’agence gouvernementale que j’ai quitté en février 2024 de mon plein gré alors que mon contrat courait encore jusqu’en octobre 2024, il a été mis fin aux fonction du Directeur général le 24 avril dernier. Toutefois, la personnalité qui a été nommée le 24 avril pour le remplacer à cette haute fonction, n’a pu faire la passation de service et prendre officiellement fonction que… fin août dernier ! Du fait de lenteurs (pas toujours innocentes) dans le circuit administratif.

Beaucoup de poussière, oui, qui nous aura pratiquement fait perdre huit mois (avril-novembre) fait perdre du temps à notre belle jeunesse en attente de solutions structurelles, fait perdre du temps à nos enfants si ardemment motivés par le duo formé par Diomaye et par PROS, Premier ministre Ousmane Sonko.

« Pënd Bi Wuri Na, nak », comme l’écrirait notre cher ami écrivain en wolof Bubakar Boris Joob.

Oui, la poussière qui nous a embrumé si longtemps est retombée définitivement, au soir du jeudi 12 septembre 2024, avec la fixation de la date du 17 novembre 2024, pour les élections législatives, devant mettre en cohérence, ce qui est tout naturel, la plus récente légitimité de l’incarnation républicaine et humaine de la présidence de la République (celle exprimée par nos compatriotes d’ici et de la diaspora, le 24 mars) ; mettre en cohérence donc, cette légitimité supérieure principielle, avec le corps parlementaire à venir et à advenir, qui doit refléter cette légitime présidentielle la plus proche de nous dans le temps, pour l’adoption des lois appliquant les projets et programmes réformateurs du président Diomaye, jusqu’en mars 2029.

La poussière est retombée. Remercions-en les mânes de nos ancêtres. « Car, il est plus que temps de « finir de commencer ! « .

Aussi, tel que je me suis déterminé depuis… août 2023 (…), dans le compagnonnage avec un candidat de l’opposition d’alors, devenu depuis décembre 2023, membre du futur camp présidentiel plébiscité par le peuple ; autant, depuis ce jeudi 12 septembre 2024 à 20h07 (heure de fin de l’adresse à la Nation du président Diomaye), j’indique, je renouvelle et reconfirme mon adhésion confiante, mon espérance et mon « adhérence » en faveur de la majorité parlementaire diomayesque qui doit être portée à l’Assemblée nationale, à la sortie des urnes, au soir du dimanche 17 novembre 2024, inch’Allah.

J’appelle, je plaide et je travaille, en faveur d’une nouvelle et large coalition de « grands arcs de coalitions parlementaires », se réunissant pour former la majorité présidentielle élargie, en un beau patchwork de « diversité dans l’union » – car, l’union est un combat -, soutenant l’action réformatrice de Diomaye, à travers des nouveaux députés à élire, dont l’action parlementaire se devra majoritairement de refléter le « Projet » plébiscité de Jub, Jubal, Jubanti.

A LIRE  OUSMANE SONKO FAIT PARTIE DU BILAN DE MACKY SALL

Avec aussi ce credo, qui est mien et dont je travaille à ce qu’il soit le plus largement partagé et majoritairement nôtre, dans ce qui sera réglé au fond des urnes au soir des élections législatives du dimanche 17 novembre 2024 : « Sénégal 2024-2029 : pour des réformes (r)évolutionnaires ! »

Ne me demandez pas la neutralité partisane : je suis éditorialiste-communicant et non journaliste, depuis au moins l’année 2018.

J’ai été journaliste, à temps plein ou à temps partiel, de 1997 à 2018 : radio Nostalgie, quotidien Le Matin, hebdo Le Témoin, magazine Notre Afrik (Bruxelles), quotidien Tract (première formule tabloïd, de 2000 à 2002), service de communication du ministère de la Communication (2010-2012).

Pour ce qui est, au jour d’aujourd’hui, de mon média numérique Tract.sn, dont je suis fondateur-éditeur depuis le 8 mars 2018, il est dirigé depuis 5 ans, de main de maître par mon cher ami et frère, l’excellent journaliste Cheikh Tidiane Coly, 25 ans de métier, Directeur des Publications, pour notre média numérique Tract.sn, comme pour notre journal périodique numérique « Tract hebdo » (disponible chaque jeudi sur « Youscribe proposé par Orange » (Youscribe.com), la librairie digitale au 1 millions de titres de presse, livres et podcasts.

Cheikh Tidiane Coly, Directeur des publications donc, est très à cheval sur l’éthique et la déontologie, dans notre média numérique indépendant Tract (adresse e-mail pour joindre la rédaction de Tract.sn et de Tract Hebdo : contact@axes-et-cibles.com), ce qui est attesté, si besoin en est, par notre intégration depuis décembre 2023, au sein du processus de certification JTI initié par l’ONG « RSF » (Reporters Sans Frontières). Ce qui est également attesté par notre obtention de notre part de l’Aide à la presse annuelle de l’État sénégalais, depuis 4 années consécutives.

Pour en revenir au sujet principal : au titre de mon engagement résolu, et parce qu’il n’y aura pas assez de places sur la liste principale (nationale et départementales) des candidats à la députation du camp présidentiel Diomaye et ceci, pour plusieurs facteurs, dont ceux-ci :

– les suppléants, élus députés de Yewwi Askan Wi (YAW) en juin 2022 à la place des titulaires forclos, ces députés-là devant être légitimement reconduits comme candidats.

– la Coalition Diomaye Président, autour du Projet, ayant été composée de plus de 100 organisations politiques alliées en mars 2024. Alors qu’en juin 2022, YAW avait dans sa coalition pour les législatives, « seulement » une vingtaine d’alliés.

Aussi, j’en appelle à une large ouverture des listes de « Grands Arcs de Coalitions pour la Victoire Parlementaire Majoritaire Présidentielle », soutenant l’action réformatrice du président Diomaye, y compris donc, par la présence dans la compétition aux élections législatives d’organisations politiques alliés de Diomaye, sur d’autres listes ou coalitions, dans l’émulation, pour aller dans le sens de l’élargissement et du renforcement de la base sociologique du président de la République Bassirou Diomaye Faye dans nos villes et dans nos communautés rurales, partout au Sénégal; Listes coalitions jumelles, qui composeront – c’est, en tous les cas, mon vœu et l’objectif auquel j’apporterai ma contribution personnelle – la prochaine majorité parlementaire de Diomaye.

De ce point de vue, je pense notamment à des listes ou coalitions du camp présidentiel Diomaye Faye (dont le nom et l’image ne devront pas être utilisés pendant la campagne électorale, étant donné qu’il incarne l’Institution Républicaine présidentielle et est la clé de voûtes des institutions de notre République) qui pourraient venir de – ou être inspirées par-, ces leaders confirmés que sont, par exemple, celui du parti SET (Sénégal en Tête), de mon frère  le ministre Moustapha Guirassy, parti dont j’ai été membre-fondateur en 2017, parti qui a fait gagner le président Diomaye dans la région de Kédougou, parti SET promoteur du « talibéship ».

A LIRE  MODIBO KEÏTA, PATRIOTE, SOUVERAINISTE ET PANAFRICANISTE

Ou encore, le parti UDP Kiraay de mon grand frère, le probe ministre (il a cornaqué le Budget de notre pays avec une exemplarité sans failles, pendant cinq ans) et Inspecteur Général d’État Birima Mangara, qui a fait gagner Diomaye dans la région de Diourbel. Parti UDP Kiraay, que j’accompagne.

Ou enfin, le parti Awalé du Dr Abdourahmane Diouf, ce dernier avec lequel j’ai partagé le pôle de Coalition du candidat Idrissa Seck en 2019, alors soutenu par le parti SET de Moustapha Guirassy, dont j’étais alors le secrétaire national en charge de la Communication, des Questions Éducatives et de la Coopération Africaine. Au titre de ce pôle de communication Idy 2019, j’ai encore le bon souvenir d’un duel télévisé de 60 mn et en direct live entre moi-même Ousseynou Nar Gueye (pour Idrissa Seck) et Idrissa Diabira, coordonnateur de l’élaboration du programme Yonnu Yokkuté (pour Macky Sall), sur la SEN-TV, un vendredi soir de fin janvier 2019, à trois semaines de l’élection présidentielle du 24 février 2019, duel politique modéré par l’excellent journaliste Ben Mactar Diop*

Je m’en arrête là, tant il est vrai que : « ku liim juum » (adage sénégalais qui signifie : « quand on cite des noms, on risque toujours d’en omettre »).

Je m’engage résolument, je le répète, pour un « Sénégal 2024-2029 : avec des réformes (r)évolutionnaires dès novembre 2024 ! ».

Jub, Jubal, Jubbanti, nous en sommes d’accord et confiants. Mais, aucune œuvre ne sera parfaite, car, « Juumte du wees. Juumte du wéy. Mag di na juum, ndaw di na juum, Kilifa dina juum ak surgaam dina juum… ! Nit Ku dul juum, aamul!

Jub, Jubal, Jubbanti : y compris – c’est même souhaitable, opportun, sinon nécessaire ! – en apportant au président Diomaye Faye, dans sa future majorité parlementaire de novembre 2024, la force d’impact et la qualité de vision de porteurs d’une « troisième voie », appartenant toutefois au camp présidentiel Diomaye, et veillant à maintenir les équilibres pour préserver notre pays de la survenance, de la permanence ou de la récurrence d’affrontements socio-politiques clivants, qui déchirent possiblement notre tissu social.

Que les grâces divines abondent dans « Sunugaal », notre pirogue à tous, qu’on ne laissera personne faire chavirer.

Et pour reprendre la fin de cet adage sénégalais, tel que dans la fin de la chanson « Juum » de Youssou Ndour à lui consacré »: « Ngeen baalma…,.man mii sax, da méy juum ».

Vive la patrie.

Vive la République.

Vive le Sénégal.

Ousseynou Nar Gueye est fondateur-éditeur du média numérique Tract (depuis 6 ans, www.tract.sn), Directeur Général d’Axes & Cibles Com (depuis 5 ans, www.axes-cibles-com.sn).







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