Mes annotations sur les propos que j’entends depuis quelques jours, en plus de l’obligation que je me fais de ne jamais me taire quand il faut parler, me poussent à jeter mon grain de sel sur ce que j’entends dire de part et d’autre, à propos des relations entre le Président Bassirou Diomaye Diakhar FAYE et le Premier Ministre Ousmane SONKO.
Seuls des inconscients, membres, sympathisants, « sociétécivilards » ou simples observateurs des soubresauts de la vie politique, ne mesureraient pas le degré de gravité des conséquences possibles de la mise d’une croix sur les bonnes relations et la collaboration entre ces deux hommes politiques, qui ont contribué à plus d’un titre à l’arrivée de leur parti, le PASTEF, au pouvoir. Il faut que les militants, pas nécessairement d’un tel ou tel pari politique, mais d’un combat pour barrer la piste au serpent dangereux qui rampe, ne serait-ce que pour arriver à catalyser une réussite de ceux qui rêvent de bloquer le programme politique qui a eu raison sur Macky SALL et ses souteneurs qui, finalement en faisaient à leur tête, en narguant ceux qui avaient à redire sur ce qu’ils faisaient ou disaient.
A mon avis, il ne faut rien négliger, rien sous estimer à propos des « armes » que fourbissent ceux-ci, pour espérer pouvoir revenir au pouvoir ou à défaut installer l’ingouvernabilité du pays par tous les moyens. Ne dit-on pas qu’il est plus facile de détruire que de construire ?
M’adressant sans façon au Président de la République Bassirou Diomaye Diakhar FAYE et au Premier Ministre Ousmane SONKO, je leur recommande de rester vigilants, en ayant comme seule boussole celle qu’ils avaient en main dans l’opposition avant d’arriver à la tête de l’Etat. Il faut donc qu’ils la tiennent bon et ne jamais perdre de vue que le moyen le plus efficace pour l’ennemi est la dislocation de leurs excellentes relations, de leur bonne compréhension réciproque.
M’adressant sans façon au Président de la République Bassirou Diomaye Diakhar FAYE et au Premier Ministre Ousmane SONKO, je leur recommande de rester vigilants, en ayant comme seule boussole celle qu’ils avaient en main dans l’opposition avant d’arriver à la tête de l’Etat. Il faut donc qu’ils la tiennent bon et ne jamais perdre de vue que le moyen le plus efficace pour l’ennemi est la dislocation de leurs excellentes relations, de leur bonne compréhension réciproque.
L’ennemi y tient peut-être pas seulement pour revenir prématurément au pourvoir – un rêve vraisemblablement irréalisable – mais surtout pour échapper aux poursuites, en vue desquelles les susceptibles d’être poursuivis pour des délits économiques, ne perdent rien à attendre. Qui est fou, qui ne serait pas conscient que ce n’est pas le duo qui tient actuellement la reine du pouvoir qui leur fera des cadeaux.
Il ne s’agirait pas de vengeance mais d’une application rigoureuse de la loi, sans cruauté inutile, à ceux qui ont participé, de près ou de loin, à la dilapidation des biens publics à leur profit.
A ceux là, comme je l’ai déjà dit dans un papier antérieur, je leur conseillerais de proposer aux poursuivants des médiations pénales pour éviter d’aller en prison ou, s’ils y sont déjà, de bénéficier d’une liberté provisoire. En tout cas, personne n’ignore qu’une prison n’est pas un hôtel de cinq étoiles.
Il ne s’agirait pas de vengeance mais d’une application rigoureuse de la loi, sans cruauté inutile, à ceux qui ont participé, de près ou de loin, à la dilapidation des biens publics à leur profit.
A ceux là, comme je l’ai déjà dit dans un papier antérieur, je leur conseillerais de proposer aux poursuivants des médiations pénales pour éviter d’aller en prison ou, s’ils y sont déjà, de bénéficier d’une liberté provisoire. En tout cas, personne n’ignore qu’une prison n’est pas un hôtel de cinq étoiles.
Dakar, 04 Novembre 2025
Me