Ousmane Tanor Dieng ou le Ps agonisant et mourant d’une belle mort…
Oui, «That is a shame !»
Ah OTD (Woté -té – Dê), quelle responsabilité face à l’histoire de ce grand parti créé par feu le poète-Président Léopold Sédar Senghor, le nègre qui a enseigné le français aux Français, en France !
Pour la première fois depuis sa création, par la faute de son secrétaire général national, OTD, le Ps ne participe pas à une élection aussi cruciale que la Présidentielle du 24 février 2019.
Malgré des velléités de refus, Tanor avec quelques affidés (un groupuscule pompeusement appelé Congrès, Comité exécutif et Bureau politique font porter la camisole de force à des instances caractérisées par un dol aux relents d’une manipulation sordide avec des réunions «en dictée préparée» malgré les fautes criardes de syntaxes, de tautologie, de contresens et de concordance de temps. Quelle honte : «that is a shame» pour paraphraser Shakespeare, une honte toute bue !
Rien que pour un poste grassement rémunéré de Hcct avec une caisse noire plus noire que le crépuscule d’hivernage.
Hier grand et digne dans une posture de roi dans la forêt avec le fils de Diogaye et de Gnilane, aujourd’hui «ce Ngari Mbowdi» du troupeau devient un porteur de valises, un simple planton (disons pour la pudeur un chargé de mission de ramassage de parrainages au niveau de la région de Thiès en synchronisation avec son ex-ennemi Moustapha Niasse, récompensé pour la tenue en laisse des députés lui aussi fossoyeur de l’Afp).
I have a dream, je rêve d’un départ volontaire de ces bourreaux de l’alternance générationnelle.
Bon débarras !
Ouste ! Moribonds ! Politicards !
Bamba Sidy Mbakhane DIOP
Politologue