Qui s’érige en mouton de panurge, imite sans se poser de question, qui suit instinctivement sans exercer son esprit critique, où faire preuve de l’intelligence qu’on peut espérer d’un être humain.
Quand on ne sait pas où l’on va, tous les chemins mènent nulle part.
Ousmane SONKO, puisque c’est de lui qu’il s’agit, s’est revêtu de sale drap, fait qui a fini de cristalliser le landerneau politique sénégalais.
La gravité des faits remet en cause sur d’éventuelles légitimités de la candidature du leader du pastef, lui, qui manifestement est mouillé ces derniers temps par une histoire de mœurs. Confier les rênes de ce pays entre les mains d’une personne qui évolue dans la clandestinité serait synonyme de suicide.
Je ne m’en vais pas jusqu’à culpabiliser ou innocenter Monsieur Ousmane SONKO car l’enquête est toujours en cours pour des faits aussi gravissimes tel que le viol, fait qui a fini d’écorner son image. Aujourd’hui, le doute gagne de plus en plus une bonne frange de la population sur la crédibilité d’une telle personne, qui après son forfait a fait appel à l’insurrection entrainant ainsi un vandalisme populaire. Ces faits illustrent encore une fois l’incivisme de cette bande qui aspire de diriger un jour ce pays, notre cher SENEGAL que nous aimons tant. C’est la première fois dans l’histoire politique du SENEGAL qu’un leader politique dans son allocution dit sans complaisance une fois au pouvoir, qu’il n’y aura plus de magal ni de maouloud et pourtant SENGHOR, qui fut catholique ne l’a jamais interdit au contraire, il a toujours tissé une relation fraternelle avec tous les foyers religieux de ce pays. Cette déclaration indécente a fini de qualifier le genre de personne car défiant ainsi toutes nos confréries. L’acte patriotique ne rime guère avec la violence.
Moment n’est-il pas venu de se poser la question de savoir si Ousmane SONKO est-il conscient de son statut de député du peuple ?
Est-il conscient qu’il est payé par le contribuable sénégalais ?
Malgré, les différents moyens et privilèges mis à sa disposition (un salaire de 1.300 000 FCFA, un véhicule de fonction de type 4X4, 300 litres de carburant par mois, un appartement de luxe sis à l’hôtel des députés, des passeports diplomatiques, lui et ses 2 épouses leurs permettant d’aller et de venir à leur convenance. Mais également, il bénéficie d’une couverture maladie universelle assurée à hauteur de 80℅ par l’assemblée nationale. Avec tous les privilèges Monsieur Ousmane SONKO ne trouve pas mieux que d’aller fréquenter des salons de massage dépourvus de tout agrément et cela à la surprise totale. A notre ère, le SENEGAL ne manque pas de structures de massage répondant aux normes et standards internationaux avec un personnel rompu à la tâche. Raison pour laquelle, son argumentaire ne tient guère debout ! Pourquoi les cadres du Pastef ont contredit leur leader dans son argumentaire ? Ont-ils noté des incohérences dans ses propos ? En tout cas pour une seule histoire de mœurs, chaque jour que Dieu fait on nous livre une nouvelle version des faits. Peut être le leader du Pastef arrivera d’un moment à l’autre à avouer publiquement son forfait.
Le moment est venu pour que s’arrêtent les agissements frivoles pastefiens ayant pour seul but d’embrouiller les sénégalais. Ce sont des manifestations perverses que le régime considère comme de purs amateurismes
Pour terminer, je voudrais faire un appel solennel à l’endroit de tous les pastefiens, leur patron en premier pour lui dire ‟Qui donne la leçon doit l’exemple” et c’est dans ce sillage que vais m’en joindre aux propos d’un khalife général d’alors dont je tairai le nom qui disait si tu dois choisir un compagnon, il faut chercher celui dont la parole est en conformité aux actes qu’il pose.
Cheick Oumar SOW, Citoyen du peuple !