Senexalaat - Opinions, Idées et Débats des Sénégalais
Opinions, Idées et Débats des Sénégalais

Draguer Le Fleuve

Sort de son lit la déesse Sequena

qui déporte les autochtones désorientés,

Provoque une crue de détresse,

à la recherche de Sakina,

un Amour perdu appelé Écosystème. 

Se propage le cri de détresse. 

L’OMVS perd l’équilibre écologique. 

Diama et Manantali ne font pas barrage,

désarmés, inondent la tine du général. 

L’omerta est d’Or. 

L’alerte jaune est frappée Sec. 

Une calamité prévue confond le duo. 

Matam est dans les eaux. 

Saldé coule dans la prudence Orange.  

La crue ne créant pas de prospérité,

se gorge de récoltes engrangées. 

Le Fleuve à la plèbe a tout pris. 

Misère et dénuement le déluge offre. 

C’est la peinture lugubre gravée sur la toile. 

Les familles se renfrognent. 

Du coté du fleuve les faces lorgnent. 

Son image Fouta soigne. 

Sonne le tocsin. 

Veillent au grain les Saints. 

L’expertise locale est sur le pied de guerre. 

Les ressources endogènes sortent de terre. 

Ne sont pas en reste les dignitaires. 

Le Foyer ardent la Région sinistrée éclaire. 

Les génies du fleuve réhabilitent le Pékane. 

La menace plane. 

La cohésion sociale elle resserre. 

La solution est là ou naissent les problèmes. 

Une solution qui enlumine les faces blêmes,

insuffle une saine synergie. Une salvatrice riposte s’organise. 

qui optimise l’Anacim,

prévient les dégâts structurels ,

résoud les difficultés conjoncturelles. 

La mode emporte le succès. 

En l’honneur du Japon,

le Petit Prince brûle de l’encens ,

suscite un engouement passager. 

En matière de gestion des catastrophes,

l’expérience nippone inspire. 

Il est temps d’agir.

A LIRE  Les jeunes sont-ils l’avenir de l’agriculture sénégalaise? Un secteur qui attire de jeunes malgré les difficultés !







Draguer Le Fleuve

Sort de son lit la déesse Sequena

qui déporte les autochtones désorientés,

Provoque une crue de détresse,

à la recherche de Sakina,

un Amour perdu appelé Écosystème. 

Se propage le cri de détresse. 

L’OMVS perd l’équilibre écologique. 

Diama et Manantali ne font pas barrage,

désarmés, inondent la tine du général. 

L’omerta est d’Or. 

L’alerte jaune est frappée Sec. 

Une calamité prévue confond le duo. 

Matam est dans les eaux. 

Saldé coule dans la prudence Orange.  

La crue ne créant pas de prospérité,

se gorge de récoltes engrangées. 

Le Fleuve à la plèbe a tout pris. 

Misère et dénuement le déluge offre. 

C’est la peinture lugubre gravée sur la toile. 

Les familles se renfrognent. 

Du coté du fleuve les faces lorgnent. 

Son image Fouta soigne. 

Sonne le tocsin. 

Veillent au grain les Saints. 

L’expertise locale est sur le pied de guerre. 

Les ressources endogènes sortent de terre. 

Ne sont pas en reste les dignitaires. 

Le Foyer ardent la Région sinistrée éclaire. 

Les génies du fleuve réhabilitent le Pékane. 

La menace plane. 

La cohésion sociale elle resserre. 

La solution est là ou naissent les problèmes. 

Une solution qui enlumine les faces blêmes,

insuffle une saine synergie. Une salvatrice riposte s’organise. 

qui optimise l’Anacim,

prévient les dégâts structurels ,

résoud les difficultés conjoncturelles. 

La mode emporte le succès. 

En l’honneur du Japon,

le Petit Prince brûle de l’encens ,

suscite un engouement passager. 

En matière de gestion des catastrophes,

l’expérience nippone inspire. 

Il est temps d’agir.

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