Cette question, triviale au demeurant, risque pourtant d’être la plus débattue dans nos chaumières à la parution de ce livre. Tellement, devant notre tribunal social, le « délit de faciès religieux », prend souvent le pas sur la « preuve » par les idées. Alimentant du coup, pour le cas d’espèce, la puissance de la clameur publique, ou, pour user d’un terme à la mode, le « buzz » qui va, je l’espère vivement, accueillir ce remarquable « bréviaire du Mouridisme » que nous propose Mamadou Sy Tounkara.