Ce pays, petit de par sa taille et grand de par ses hommes, s’appelle à l’unisson, le Sénégal. Pays de la célèbre Téranga, en d’autres termes, pays de l’hospitalité légendaire chantonnée et festinée dans le monde entier. En effet, ce Sénégal-là, dont on vante les mérites, mérite-il ces superlatifs ? Cette question on ne peut plus claire divise mais mérite aussi tout son pesant d’or.
Contributions de Ibra POUYE
Ö ma life est dure ! Un temps fou passé entre quatre murs j’endure en ce moment. Ö qu’elle est belle, cette souffrance teintée d’une endurance inouïe ! Pardi, bon Dieu m’aidera à traverser cette dure épreuve. J’ai un destin. Unique. Déjà tracé : de la prison de Rebeuss Island au palais de l’avenue Roume en passant par le Qatar, mon pays d’adoption. Assez de temps passé sous les lambris dorés et sous les ors de ce petit état ô combien richissime et généreux envers moi. En effet, il est l’heure d’affronter cet ogre qu’est Michelin Sall. Il va voir. Je vais le déglinguer. Sans moi, que serait Macky Sall ? Allez demander cela à mon ô combien généreux pater, Abdoulaye Wade, qui l’a enrichi jusqu’au coude ! Mais bon Macky, c’en est une autre paire de manches ! Mon père et moi l’avions pris pour un moins que rien mais bon il est redoutable et est un fin politique. Il nous a tous dribblés. L’on avait oublié qu’il a été à bonne école au Parti démocratique sénégalais (Pds). Macky le jardinier de rêve de mon père. Ce que disait ce dernier. Une erreur monumentale qui a payé cash.
Je suis Vincent-tout-puissant, l’entrepreneur breton. Originaire de la Bretagne, ma Bretagne à moi ! De quoi on m’accuse encore ? Qu’ai-je encore fait pour subir tant d’injustice et de calomnies de la part de la France, ma douce France à moi, pays des lumières, de Jaurès, de Charles de Gaulle, de Mitterrand ? Hélas cette France d’où je…
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Jour funeste et triste festoyé dans une drôle de franquette pour certains. Jour de gloire embuée dans une vaine gloriole pour d’autres. Me demande et par tous les dieux et démons de la terre à quoi rime le 4 avril dans l’imaginaire collectif de ce Sénégal-là. En effet, en 58 ans d’indépendance et rien de concret dans la gibecière ! Un peuple dans la douleur, endormi voire couché. Ce peuple à la parlotte très facile et peu enclin à l’action. Un peuple où du jour au lendemain, l’on se réveille du bon pied, oups du mauvais pied, à la science infuse et l’on peut se permettre de diriger le monde de demain. Drôle de destin commun.
Et si on parlait de l’enseignement au Sénégal ? Un coup de pied dans la fourmilière de l’enseignement au Sénégal ! En effet, ces deux titres, dans le contexte actuel, seraient plus appropriés que ce titre on ne peut plus ubuesque qui défile sous nos yeux d’écrivassiers. Ubi taay, grève taay, est un concept né depuis quelque temps et est dans l’air de la chanson populaire. Un concept créé par des enseignants en mal d’être et dont leur avenir semble bouché. Afin un concept pour réclamer de bonnes conditions de travail. Mais ont-ils le droit de décider ainsi de notre rythme scolaire et de braver quelques interdits ? Difficile de répondre à cette question à brûle-pourpoint, qui ressemble à une patate toute chaude, sortie de la fournaise. Même les enfants en bas âge, repus et bien biberonnés, entonnent cette triste ode.
Ce matin, avec une gueule de bois, je me suis réveillé. Je suis tombé du pieu ou je ne sais quoi dire. En effet, je me suis levé du mauvais pied, du gauche ou du droit, je ne sais plus. Je me ‘’wolofise’’ et tant mieux. Je bégaie ou c’est l’histoire de ce pays que nos aimons par-dessus tout qui bégaie. Les souvenirs doux de mon enfance s’amoncellent dans mon esprit d’observateur du landernau politique et social sénégalais. Tout part en vrille. Tout périclite. Rien ne va plus dans notre Sénégal. L’horizon semble bouché et rien ne point. Qu’est ce qui se passe au Sénégal ? Dans ce pays lilliputien, mais grand de par la bravoure de ses hommes et de ses femmes mais rempli de sagesse grâce à ses aïeuls. Tout fout le camp ! Oups, tout semble fondre dans le néant. Sommes-nous tombés plus bas que notre popotin ? Sommes-nous réellement de vrais homo-senegalensis ? Ces questions à ne pas négliger, valent leur pesant d’or. Ces questions qui turlupinent l’esprit du citoyen lambda, méritent d’être éclairées. Quand on disserte sur le Sénégal, de nos jours, qu’est-ce qu’on peut tirer de ce pays que nous aimons tant et qui nous fait haleter jusqu’à perdre notre souffle ? De ce Sénégal d’aujourd’hui, il ne reste que nenni. Les valeurs intrinsèques qui faisaient notre fierté d’antan se raréfient comme le nectar des abeilles. Est-ce la fin des temps ? Est-ce la fin de ce Sénégal que nous criions sur tous les faîtes du monde ?
Inébranlable. Démesurément serein. Force tranquille. Serviable. Convivial. Tels sont les mots trompetés dans la presse, décrivant le locataire du palais de l’Avenue Roume. Marque de fabrique à laquelle s’adonne une certaine presse qui s’est entichée de Macky Sall,président de la République du Sénégal.
L’heure est chaude et l’actualité bouillonne comme le chaudron. Brouter, c’est le verbe qui est de mise et est dans l’air du temps. Brouter sied à bon nombre de personnalités dans le landernau politique sénégalais. Brouter là où l’herbe pousse à foison, c’est ce qui caractérise ces femmes et hommes politiques qui ont plus que fait rêver la jeunesse sénégalaise férue de politique. Politique qui coule de source et accroche, rimant avec les affaires de la Cité.
Titre effarant jetant l’opprobre sur ce pays lilliputien, le Sénégal, jadis havre de paix et berceau d’une belle démocratie en Afrique de l’ouest voire en Afrique. Le titre de cette chronique laisse perplexe et songeur tout observateur averti de la scène politique africaine. Scène de concussions et de plans diaboliques où le mot stabilité charrie ses charmes et se fait désirer telle une dame à la recherche du prince charmant. Nous refusons de croire que ce petit pays toujours foutu dans un océan de chaos soit de nos jours devenu un Etat policier. Un pays où la flicaille règne en bon maître. Un Etat sans loi ni foi ?Oups ! En effet, il nous est impossible de croire à cette thèse on ne peut plus claire mais taillons dans le clair-obscur et dans le vif pour voir plus clair. Une honte pour la démocratie si cela s’avère. Malheureusement cela est vrai et ça se susurre du bout des lèvres de quelques sénégalais rencontrés par ci et par là.
Qu’il est bon d’être aimé, adoubé et élu par son peuple ! Mais que la charge de président de la République est lourde ! Que d’injures, de calomnies, de déceptions, de brimades et d’attaques en dessous de la ceinture! Dur est l’adjectif qui qualifie le plus cette tâche à laquelle s’est attelé Macky Sall, président d’un pays en hibernation et qui essaie de se relever malgré les coups fatals et durs de cette crise mondiale qui secoue la planète. Jamais de mémoire de sénégalais, le peuple n’a été si éprouvé.