Le cas d’Aliou Sall est la parfaite confirmation sans équivoque, du manque de culture de démission de nos hommes politiques au Sénégal. Mais pour être conforme avec l’histoire, il y a eu le cas rarissime, parce qu...
Contributions de Mandiaye GAYE
Le cas de l’aéroport Léopold Sédar Senghor qui semble être, en ce moment, comme un cadavre en putréfaction,à la merci de charognards, nous fait penser, fortement, à cela. Déjà, la vente des terres de l’aéroport L ...
Le Directeur Général, de l’Institution de Prévoyance Retraite du Sénégal, en portant à la connaissance des retraités dans son entretien cette malheureuse information : « IPRES, 40 milliards FCFA d’arriérés » voulait leur révéler quoi, au juste ? On pe...
L’arrestation de membres du personnel de la rédaction de Dakaractu, aussitôt libérés, est, purement et simplement,de l’intimidation et un excès de pouvoir caractérisé d’un régime qui n’est plus sûr de sa popularit...
Le peuple sénégalais, durant des décennies, a été assez spolié par des politicards véreux. Ce qui, d’ailleurs, se poursuit jusque-là. Ces politiciens prédateurs ont, plutôt, pillé le pays en s’accaparant de ses ri...
Et, c’est sans aucun doute pour cette raison majeure que Nelson Mandela nous disait si justement que : « L’éducation est l’arme la plus puissante qu’on puisse utiliser pour changer le monde » Comment dès lors, les chefs d’Etat africains ont-ils pu négliger une telle arme aussi puissante et capable de changer le monde, à plus forte raison, un pays ? Il est sûr et même certain que nos gouvernants, à la petite semaine, oublient même que l’éducation est un véritable baromètre pour mesurer le niveau de développement d’un pays donné. Alors, l’on constate qu’après 57 ans d’indépendance, l’Afrique est encore à la traine et incapable de s’autofinancer en matière d’éducation, au point de parcourir le monde pour quémander auprès des pays occidentaux et autres, de quoi financer, un secteur aussi stratégique et prioritaire, que l’éducation dans le développement d’une nation. Ainsi, un tel état de fait révèle incontestablement, l’existence d’un déficit dans la gestion des ressources des pays d’Afrique de manière vertueuse et rationnelle par leurs dirigeants sur la base des priorités, dont l’éducation d’abord. Mais au lieu de cela ils se sont plutôt préoccupés à s’enrichir personnellement ou ont procédé à des dépenses de prestige de pure futilité, etc., au détriment de l’éducation qui, de manière générale, doit profiter globalement, à tous les citoyens.
« Le motif le plus important du travail à l’école, à l’université, dans la vie, est le plaisir de travailler et d’obtenir, de ce fait, des résultats qui serviront à la communauté.
Osons le clamer haut et fort ! En vérité, au Sénégal, les mairies d’hier aux collectivités locales d’aujourd’hui n’ont été et le demeurent d’ailleurs encore que des sources occultes et illégales de financement politique à leur parti au pouvoir. Pour l’histoire, à titre de rappel, le maire de Saint-louis avant l’indépendance, Mare Diop et après […]
Lorsque, le prince héritier, Mohammed ben Salmane donne une leçon magistrale de lutte efficace contre la corruption et l’impunité à certains chefs d’Etat parmi lesquels ceux d’Afrique, nous devons nous en féliciter. Cet exemple, de leçon d’éthique assortie d’une justice sociale qui défie, voire supprime l’impunité au bénéfice d’une classe de privilégiés, m’a tellement comblé […]
Le mercredi 11 octobre 2017, le site ‘’Dakaractu’’ révèle, par ce titre : « La CRÉI sur la piste d’une supposée rétro-commission de 12 milliards versée à Cheikh Amar (Documents).»
En vérité, il y a actuellement, une absence ou perte de repères pour tous les partis politiques du Sénégal. Ce qui a conduit notre pays dans cette situation lamentable et malheureuse, qui fait que la politique, comme l’homme politique en général, est dégradée et dévaluée au bas de l’échelle par une bonne partie de la population. Et pourtant, elle est incontournable dans la vie des sociétés humaines et organisations. Oui, parce que l’essence comme le but fondamental ou la quintessence de la politique sont actuellement faussés et royalement ignorés au Sénégal. Ainsi, il n’y a plus de source idéologique d’inspiration politique pour les familles politiques présentes sur la scène au Sénégal. Et, on peut le dire sans risque de se tromper ni d’être démenti, que presque tous, à la place de la politique dans le vrai sens du terme, font de la débrouillardise ( manam taxaalé ). Et, pour s’en sortir, certains, comme les fins hâbleurs, s’appuient sur leur éloquence pour trompeur leur monde et d’autres usent de leur ruse de jombor.
Au regard, des graves échos ethnicistes et de toutes sortes de phobies sociales qui se propagent actuellement chez-nous à travers les réseaux sociaux et médias, voir l’Etat s’abstenir devant une telle situation grave de conséquences, ce n’est pas responsable. Surtout, lorsque l’on sait, que ce dernier est le premier garant de la sécurité […]
Nous avons constaté que, faute d’un renouvellement qualitatif de son personnel politique depuis des décennies, notre pays est, aujourd’hui, malheureusement encombré par des bandes de politiciens véreux et d’escrocs de tout acabit, aux langues de bois, sans foi ni loi. De surcroit, ils ne sont mus, en vérité, que par leurs intérêts et ambitions […]
Encore un drame de plus ! Un drame, profondément regrettable, dû par une négligence coupable de nos autorités et de l’indiscipline par ailleurs. Ce qui est inadmissible, dans un pays où la prévoyance est de rigueur et fait partie intégrante des règles permanentes de bonne gouvernance. Ceci étant, la responsabilité des autorités dans ce drame est pleine et entière sur toute la ligne, par le fait que le gouvernement ait observé la dégradation continuelle de ce stade, comme si de rien n’était, ceci chaque jour davantage, sans aucune intervention de sa part en amont, afin d’enrailler la catastrophe qui se dessinait inexorablement, avant qu’elle ne se produise subitement.
Mais pourquoi, la CENA et le gouvernement ont-ils tant peur et redoutent-ils tellement cette solution idoine du bulletin unique, qui est facile, transparent, fiable, peu onéreux, etc. et qui a fait ses preuves ailleurs ?
Absa Guèye, une grande dame remarquable, symbolisée par une générosité légendaire, vient de nous quitter. Comme on le dit généralement, derrière, ou plutôt, à côté de chaque grand homme, il y a effectivement une grande dame. C’est cette assertion que la dame Absa Guèye, épouse de notre regretté ami et camarade Malick Sow Dembèle, disparu il y a juste 2 ans, a parfaitement confirmé.
Avec de telles dépenses de gabegie, totalement improductives, comme celles ci-dessus, pour lesquelles le caractère irrationnel est évident et, ne fait plus, nullement, l’ombre d’aucun doute. Ainsi, l’on peut bien se demander, dans quelle sorte de république, sommes-nous au Sénégal ?
Tout d’abord, je salue, en tout cas, l’heureuse initiative prise par Y EN A MARRE et la réussite incontestable de leur manifestation, au regard du public record, qui y a pris part, librement et sans aucun incident. Cette réussite est tout à leur honneur, parce qu’il est absolument sûr et certain, qu’aucun de ces nombreux […]