Le cerveau de nos compatriotes est ainsi occupé des heures durant à l’amusement et à la superficialité insupportable de quelques maîtres de la parole et du spectacle que ni la décence, ni la religion, ni même le civisme n’arrêtent. Divertis à longueur de journées, les Sénégalais ne voient pas qu’on les forge ainsi pour les vendre au plus offrant (publicitaires ou hommes politiques).
Archives journalières : 9 avril 2015
3 articles
Le «sexe» est devenu ambiant et omniprésent dans l’espace médiatique et, par ricochet, dans l’univers mental des Sénégalais. Il est partout ! Il fait tout ! Le mythe de la «femme-objet», symbole du fantasme le plus extravagant de l’homme, est devenu le cristallin de toutes les chaînes de télévision. Matin, midi, soir : les belles filles sont devenues le symbole de l’ornement érotique d’un vide médiatique très profond.