Les médias relatent une «recrudescence de la violence dans les banlieues et grandes villes» depuis un certain temps. Chaque jour, ils font état des crimes commis par des malfrats, bandes armées (meurtres, assassinats, parricides…). Tout cela a motivé le débat sur la restauration de la peine de mort au Sénégal. Les imams en ont fait leurs sermons, les hommes politiques ont saisi l’occasion de se faire entendre, les médias ont pu remplir leurs colonnes. Deux entités se sont créées : celles qui, s’inspirant de la charia, soutiennent la nécessité de tuer les coupables pour respecter les préceptes donnés par Dieu, d’autres par contre, militants d’une autre «correction», refusent une telle loi.
Archives journalières : 7 décembre 2016
Lors de la conférence de presse tenue le vendredi dernier, le porte-parole de la coalition Manko wattu Senegaal, M. Déthié Fall, a rendu compte de leur audience avec le chef de l’Etat et a évoqué les 10 points ayant fait l’objet de discussions dont 8 satisfaits et 2 pas d’accord.
En 2003, pour trouver une solution durable aux récurrents problèmes d’inondations de la ville de Saint-Louis, les autorités avaient à l’époque précipitamment creusé un canal ou brèche de cent (100) mètres de long sur quatre mètres de large en aval de la ville afin de permettre aux eaux du fleuve de se déverser dans la mer.
Un islam sans éveil spirituel pourrait bien être assimilé à un arbre qui aurait perdu ses racines. Une bonne compréhension du Coran et des hadiths du prophète Muhammad (PSL) n’est possible qu’à la lumière d’une bonne éducation et élévation spirituelles.
Macky Sall déroule sa stratégie politique en roue libre pour gagner en 2017 et en 2019. L’opposition quant à elle, est à la peine pour réussir une unité d’action et un rassemblement pouvant contrebalancer le poids de Benno Bok Yakar la mouvance présidentielle. Il ne faut pas être devin pour comprendre le mal ou la faute politique intrinsèque de l’opposition actuelle.