Faut-il encore attendre la manifestion de conséquences pour agir ???
Le médicament, une substance ou composition possédant des propriétés curatives ou préventives, destinés à guerrir, à soulager ou à prévenir des maladies humaines ou animales. Une définition rassurante mais amputée de l’effet inverse: un médicament s’est aussi un poison et le secret réside dans l’utilisation scientifique suivant la posologie, la mise en garde et la date péremptoire…
Sénégalaise, sénégalais,
Dans une approche scientifique et historique sérieuse on peut affirmer et dire qu’il y a trés longtemps, à l’époque du médecin de famille, ce directeur de conscience laïc dont la race tend à disparaitre, la médecine aider à naitre et à mourir ou de temps en temps, assistait les malades en attendant que la bonne nature les guérisse…
Depuis quelques années, quelques mois, récemment dans une campagne de masses populaires, le ministére de la santé et de l’action sociale du gouvernement du sénégal sur instruction d’ONG et de bailleurs de fonds financiers du programme sous convention contracyclique a fait ingérer suivant une cible clairement définie des substances médicamenteuses à la population agée de 5ans et plus dont les doses à inoculer sont posologiquement cotées suivant l’âge et la taille des personnes ciblées, lors d’une campagne de porte à porte, dans les établissements scolaires et dans les daaras perturbant et suspendant les cours sans aucune autorisation parentale, sans aucune forme de réaction du ministère de l’éducation nationale qui demeure à ce jour dans un silence complice et suspect. L’autorité de pouvoir du bailleur et l’apanage du gain favorisés sont placés au dessus de toutes interrogations collectives sur cette campagne d’ou l’inquiétude des populations locales dispensées et sevrées d’un droit primaire et obligatoire avant tout traitement médical préventif et/ou curatif.
Cette campagne d’ong étrangéres via la direction des programmes du ministére de la santé dont le personnel résidant, les médecins chefs de region, de district et leur staff (des professionnels de santé animés et motivés par la quête du bourse quotidienne, déboussolés et déconnectés de toute réalité sanitaire sur le terrain) bouffent les 2/3 du financement au détriment de relais de santé qui s’activent sous le chaud soleil, le front dégoulinant de sueur pour distribuer les médicaments à provenance inconnue et dépourvue de contrôle pharmaçeutique locale sérieuse causées par le complexe, la précipitation et la goumandise des fonctionnaires pré-cités, qui ne sont au ministére et centres de santé que pour l’intérêt de leur propre personne et de leur propre ventre, se remplissent les poches à travers ce genre de programme dont ils-ont la parfaite maitrîse et le secret de définir des missions de contrôles et de supervisions uniquement pour se remplir les poches. Une situation qui aujourd’hui pése lourde sur la ressource humaine du secteur de la santé dont le personnel préfere passer par une formation de 1 ou 2 années pour être enrôler aux dits programmes, oblige certaines interrogations dont le plus important se situe dabord sur la médicamentisation de notre espéce à travers ce genre de programme de vaste campagne. Les médicaments distribués devront subir des études et des évaluations approfondies par une expertise médico-légale pour la confirmation ou l’infirmation clinique de données par de grands laboratoires étrangers pour prouver la composition chimique, le dosage exacte afin de parer à toutes conséquences de ses produits à travers les échantillons des médicaments issus de ce programme et mis à notre disposition par des professionnels de la santé sérieux et soucieux de la santé de la population.
Pour cette récente campagne destinée à « combattre les Maladies tropicales négligées », les médicaments distribués sont les suivants :
1 « Mectizan 3 mg ou Ivermectine » autorisation n° 34009 343 368 5 0 médicament antiparasitaire à large spectre: nématocide, acaricide( gale), insecticide et parasitaire sanguin
2 Albendazole 400 mg, BN 365033
ONG et bailleurs impliqués dans ce programme 2017: RTI international, Envision a world free of NTDs, Sightsavers, OMVS, SCI
NB: étude, investigations et recherche personnelle pour lever toute équivoque.
Le ministére devait inviter les partenaires et bailleurs de la santé dans l’assistance de l’octroyer des appareils de laboratoire biologique capable de détecter le VIH/sida des les premiére heures d’incubation comme cela se fait en Europe, Amérique et dans bien d’autres pays pour écarter les risques de contamination lors des transfusions sanguines obligatoires pour écarter le temps de la séro-convertion.
La variole, maladie trés contagieuse, certes éradiquée mais le virus est gardé dans de grands laboratoires Russes et Américains comme pour préparer une guerre biologique, d’où la prudence sur les médicaments et appareils recyclés et offerts sous forme de don sans contrôle ni convention signées par des touristes à certaines de nos structures de santé
Le pays dispose d’un personnel de santé bien formé et hautement qualifié, mais livré à eux-même dans des structures des santé défectueuses et inadaptées à l’exercice de leur profession au regards de l’évolution et de l’avancé de la sceince. Le Ministre de la santé préfere aujourd’hui adopter et adonne la politique de la ruse destinée à doter certaines localités d’ambulance ( une ambulance pour 15 à 20 villages) en lieux et place d’équipements biomédicaux adéquats pour relever le plateau technique des hôpitaux locaux, là où le Maroc que l’université de Dakar forme ces Médecins compte 50 appareils de radiothérapie sur tout son territoire national, le sénégal en est totalement dépourvu avec 0 au compteur c’est à dire dans aucune structure sanitaire nationale, ce qui n’empêche pas l’autorité sanitaire de faire l’éloge d’une CMU utopique et honteuse pour toute la corporation.
Au sénégal, la santé constitut la seule organisation professionnelle à ne pas disposer de plan de carriére pour son personnel. Aujourd’hui le pays à besoin de centre d’urgences et de secours civils destinés à remplacés les centres et postes (stratégiques) de santé dans chaque quartier et périphéries des villes, comptant un personnel urgentistes et polivalents de toute la corporation ( medecins, infirmiers, secouristes etc pour intervenir dans la zone de responsabilité respective) avec des ambulances medicalisées et un équipement de qualités pour constituer la premiére chaine d’intervention mobile de secours médicalisés à la place des sapeurs pompiers disqualifiés de cette tâche médicale et le de constituer la liaison entre les hôpitaux existants dans les localités. Une expérience minimale de 10 ans d’expérience hospitaliere devra être exigée pour tout Praticien désireux d’ouvrir un cabinet ou une clinique médicale ou de passer le concours pour une formation spéciale en santé publique pour ceux qui désirent devenir des médecins chefs de région.
Tous médecin désireux de se convertir en Administrateur Hospitalier devra remplir un spécialisation médicale et un minimun de 10 ans de service hospitalier et de 05 ans pour les Professeurs. Les infirmiers et les sages-femmes devront aussi séjourner au moins 5 à 7 ans dans un hôpital avant de gérer un poste de santé ou une maternité qui peut jouer un rôle capital dans leur plan de carriére.
Le terme technicien de santé supérieur n’a plus de sens et devra désormais être remplacé par l’apellation Cadre de santé de(…) selon l’spécialisation puisque ces infirmiers spécialisés ont aujourd’hui le même nombre d’années de formation que les médecins formés dans les universités privées et certains doctorants ( Dentistes, PHARMACIEN etc), l’emploi et la polivalence du personnel de santé, la méthode de remunération etc sont de questions faciles à résoudre mais négligées et abandonnées aux mains de personnes sans compétence et sans vision…
Serigne Shérif FALL