Le Sénégal est constamment frappé, depuis plusieurs années, par une série de drames, aussi tragiques les uns que les autres. Le conflit sénégalo-mauritanien(1989), l’explosion d’une citerne d’ammoniac à l’usine de la Sonacos à Dakar, (en mars 1992), le naufrage du bateau Le Diola (en septembre 2002), le naufrage de 22 femmes à Bettenty (avril 2017), l’incendie au Daaka de Médina Gounass (avril 2017), le drame du Stade Demba Diop, faisant au moins 8 morts et des centaines de blessés du 15 juillet 2017 sont autant d’évènements dramatiques qui ont secoué notre pays, de l’indépendance à nos jours…
Archives journalières : 20 juillet 2017
Cet article, qui s’inscrit en Sciences de l’Information et de la Communication(SIC), vise à mettre en évidence la problématique de l’appropriation des médias sociaux par les mouvements soufis, à travers l’exemple de la Dahiratoul Moustarchidine Wal Moustarchidaty. Grâce à une étude de la spécificité de la DMWM, nous nous intéressons, dans un premier temps à la forte dimension symbolique de ce type de groupe religieux, dans une seconde séquence, il sera surtout question des usages des réseaux sociaux numériques en rapport avec la particularité organisationnelle de ce mouvement, avant d’analyser les autres mutations observées.
Avec l’émergence des médias confessionnels, l’urgence s’impose de réinterroger le rapport entre les médias et les religions. Cela pousse à analyser la communication religieuse comme référence des lignes éditoriales de ces médias. Le cadre d’étude de cet article est Lamp Fall Télévision. Nous partons de ce cas pour étudier les fonctions sociales et managériales de la communication religieuse. Ainsi, à partir d’un diagnostic de sa ligne éditoriale, il est constaté que ce médium, Lamp Fall Télévision, s’est servi de ce type de communication pour jouer son rôle de propagande en faveur de la confrérie mouride et assurer son management organisationnel.
Ce texte est une tentative de démonstration de l’état du dialogue islamo-chrétien au Sénégal et le rôle important des médias dans ce processus. En outre, il cherche à souligner l’importance du dialogue entre deux communautés qui aspirent à vivre ensemble et à mieux se comprendre. L’État et la Presse ont un rôle très important à jouer dans la formulation d’une stratégie capable de promouvoir encore le rapprochement entre les deux communautés religieuses à travers l’élaboration d’émissions interactives et de débats clairvoyants qui éclairent les fidèles de ces deux grandes religions au Sénégal même si l’islam y est largement majoritaire.
Au Sénégal, les rapports de forces et les relations de domination sont organisés de telle sorte que pour comprendre comment fonctionnent les champs politique et médiatique, il faut d’abord étudier la relation qu’ils entretiennent avec le champ religieux. Dans un pays composé de plus de 90 % de musulmans, il prévaut ce que l’on nomme le « phénomène confrérique ». C’est dans ce contexte que se situe la présente contribution qui expose les résultats d’une étude empirique réalisée sur des chaînes de télévision revendiquant souverainement leur rattachement à la confrérie mouride. L’étude s’appuie aussi sur la théorie des rapports de pouvoirs.
Par devoir citoyen, il est nécessaire d’apporter quelques éclaircissements par rapport à la sortie tumultueuse de Mr Sergine Mboup PCA SAR sur TFM à la date du 1er Juin 2017 qui sème le doute dans la tête des sénégalais concernant les contrats pétroliers. Il a été catégorique dans ses déclarations que le pétrole appartient à 100% au Sénégal ce qui est totalement inexact.
A la veille des élections législatives du trente juillet 2017, «gardons-nous de perdre l’héritage que nous ont laissé les pères fondateurs, car un trésor est caché dedans». Ce trésor, c’est à la fois, la paix, la stabilité, la démocratie, l’exercice des libertés et le rayonnement politique, diplomatique, militaire, entre autres, de notre pays. En effet, […]