Il est devenu vital d’initier, de favoriser et de soutenir les entreprises nationales si nous voulons obtenir et garder la moindre chance de survie dans un échiquier mondial qui nous prouve, chaque jour, par ses règles injustes et partisanes, à quel point nous, africains, subissons encore le joug du colonisateur. La main mise « étrangère » sur des pans entiers de notre économie et, par ricochet, sur nos finances et cela depuis des décennies porte la marque de nos différents dirigeants, régulièrement complices de cet état de fait.