Les termes marchandisation, privatisation et clientélisation sont des concepts de plus en plus usités dans l’échiquier scolaire, des mots de plus en plus présents dans le lexique des «acteurs-promoteurs» d’une certaine éducation dite de qualité dans son processus d’installation chez l’apprenant des savoirs théoriques, une manière d’être exemplaire et des compétences recherchées et utiles dans la vie courante. En effet, «business-school» prend tout son sens non pas en tant qu’école de commerce, mais en tant qu’entreprise commerciale qui entraîne ses maux inhérents à la libéralisation des offres éducatives portées par des non professionnels et «pics-sous» du secteur de l’éducation et de la formation.