J’ai été bénéficiaire il y a quelques mois d’un rappel de salaire et dans le traitement des impôts sur cette masse salariale, j’avais constaté, eu égard à mon salaire net mensuel, un trop-perçu d’impôts de plus de 500 mille francs. Interpellant le chef des Services financiers du rectorat de l’Ucad, ce dernier me répondit : «Professeur, c’est comme ça. Quand on a un rappel, on paie toujours plus d’impôts.»