Ellipse Projets. Un gré à gré, entente directe, disons arnaque de 95, 7 milliards cfa, filé à cette société, bien sûr, franchouillarde.
Résultat : L’hôpital de Touba est mort-né. En souffrance. Qu’on tente vaille que vaille de sauver. De sortir d’un coma financier et technique criminellement provoque par un gang d’escrocs.
Et voilà qu’en soulevant ce scandalissime, des singes, des ramasseurs de coms, des maras sans foi ni loi, de petits officiels, et n’importe quels reptiles, surgissent pour défendre l’indéfendable. Certains, bave en coin, insultes à la bouche, tentent même de se rappeler à notre mauvais souvenir, à commencer par ce minus de Moustapha Diakhate, celui qui a été unanimement reconnu incompétent, incapable, inapte. Ces charognards tournoient au dessus de nos têtes, dans un ciel qu’ils noircissent. Comme pour exprimer leur vile détermination à défendre leur part d’un butin mis à nu.
Tout y passe. À la manière du mediocre Moustapha: Parler et accuser. Traiter de tous les noms d’oiseaux votre interlocuteur. Bof, la panique niveau 3 !
Un deal éventé quand le Trésor national coule, est plombé. Pendant ce temps, corrompus, des nababs pensaient se la couler douce.
Ellipse, on va parler de vous. Et arrêter ce crime imparfait, découvert.
Senegalais, tout ce chorobitage autour des mots aussi abscons que louches, offre spontanée, hôpital niveau 3, financement par une banque française, etc se conjuguent en un mot: crime ! Mobilisons-Nous contre les criminels. Surtout qu’ils ont le feu aux fesses. En face, armé de lance-flammés, pour les dezinguer, je tire à vue sur les lapins démasqués…
Rappel: l’argent, que les défenseurs du projet brandissent, n’est pas gratuit. C’est un prêt. Que le peuple doit rembourser. Selon quelles clauses ? Négocie dans quelles condition ? Ndeyssanne, les criminels sont devenus tellement audacieux qu’ils simaginent pouvoir narguer le peuple souverain.
Feu sur…l’hôpital. Touba est décidément une ville agitée ces temps-ci..