Le Sénégal est désormais sous le feu des radars du monde, entendu dans ses succès, attendu dans ses résultats dans le futur.
Le sens de l’urgence et l’impératif de resserrement imprimés à la marche de l’Etat sont bien perçus et appréciés par les populations. C’est l’essentiel !
Les changements ou nettoiements dérangent les parasites et les rats de Dakar à Londres qui sortent des égouts, éblouis, aveuglés par les lumières du jour.
Dans leurs langages orduriers et provocateurs, nos différents maîtres en écrits acerbes et injurieux entonnent leurs trompettes de mauvais « guissanekat » qui n’ont rien à envier à la voyante Selbe Ndom.
Les cris stridents du « vouvouzela » des Mademba, Mandiambal et Adama, pour ennuyeux et injurieux qu’ils soient, ne parviendront pas à perturber la sérénité de celui-là qui est investi de la confiance des sénégalais.
Les consultants nourris de prébendes et pots-de-vin se soûlent souvent et n’ont cure des mots offensants qui peuvent gêner nos pères et mères pudiques.
Le difficile étant le chemin, les choix du leader limités dans le contexte d’un resserrement qualitatif, il fallait un signal fort du président réélu pour nettoyer les écuries d’Augias.
Un président qui place en priorité les aspirations de son peuple est par essence solitaire dans ses décisions et solide dans son compagnonnage solidaire qui n’est pas un conglomérat d’opportunistes mais une multitude de patriotes, fidèles à la Nation.
Les habitués de la facilité et du culte des marchandages obscurs vomissent leurs frustrations d’une puanteur d’ambitions contrariées, pourtant pas promises.
Le quinquennat de tous les espoirs sous le leadership du président Macky Sall cristallise les attentes de tout un peuple, mais aussi les regards de tous les amis du Sénégal et de l’Afrique, longtemps sevrés d’expériences heureuses de développement pour la réalisation du rêve de la renaissance du continent.
L’urgence de satisfaire les besoins des populations, principales destinataires des services publics, implique nécessairement une économie des ressources passant par une gestion sobre d’une administration décriée depuis notre indépendance comme lourde et parasitaire de la société.
Un Etat fort, garant de notre sécurité à tous ne peut certainement pas être dénudé de ses capacités à agir efficacement, partout et pour tous.
Un réajustement des mécanismes de fonctionnement qui épouse le rythme et la cadence voulus ne peut être que bénéfique pour une accélération souhaitée vers l’émergence.
Il importe que les serviteurs publics et les acteurs politiques engagés soient en phase avec la démarche juste et salutaire du président de la République.
L’Alliance pour la République, les alliés dans Benno Bokk Yakaar, et la grande coalition, unis à toutes les bonnes volontés dans notre pays peuvent créer un vaste mouvement autour des décisions pertinentes déclinées par le président.
Une fusion organique peut être trop risquée considérant la proximité des échéances électorales et au regard des contradictions inhérentes à nos réalités politiques de forte personnification des structures.
L’idéal est de renforcer les convergences acquises durant ce compagnonnage cimenté par la vision du président, riche en succès et qui se poursuit dans le principe allégé du marcher distinctement, agir ensembles.
Un Sénégal propre reposera sur le sursaut national de l’ensemble des hommes et des femmes, ce qui suppose la mobilisation d’une jeunesse volontaire, consciente et hardie.
Nous sommes dans un tournant historique, luttons tous pour élever le drapeau !
Makkane est porte-parole APR/États-Unis