Pour l’ancienne présidente des parents d’élèves de l’ISJA que j’ai été, je ne puis laisser passer les inexactitudes du Pr Iba Der Thiam.
Ecrire l’Histoire d’une Nation requiert rigueur morale et justesse des faits incontestables qui ont réellement existés, auquel cas nous serions accusés d’avoir falsifié et travesti des choses capitales et dont les conséquences sont incalculables, sans perdre de vue le discrédit que cela jette sur le travail de nos spécialistes ; un impact négatif sur une production en perdra toute la qualité et la valeur, lui refusant une authentification des évènements historiques.
Avec ce que je viens de découvrir, le Pr Iba Der Thiam doit purement et simplement retirer de la circulation son HGS : Nul n’a le droit de travestir l’Histoire. N’ayons pas honte de notre vraie histoire qui ne doit pas servir de prétexte pour jeter l’anathème sur qui que ce soit. Personnellement je ne vois pas l’opportunité de faire « une Histoire générale du Sénégal » si elle est falsifiée ou si elle n’aurait été écrite que pour une seule frange de la société et quelques figures religieuses, si nous avons comme souci la cohésion sociale. Evitons de créer d’autres sources de mésentente. L’Histoire générale d’une nation ne doit pas être un livre de contes et de mythes et encore moins la réécrire pour ces citoyens qui s’inventent une pseudo-noblesse dont seraient issus leurs ancêtres. Chaque famille ayant la possibilité d’écrire sa propre histoire et de la publier, ce que beaucoup font depuis longtemps déjà : je n’en vois ni la pertinence, ni l’utilité, ni le besoin quand des priorités existent et sont réelles !
Pas de méduse au Cap-Vert, donc pas de dette compensatrice pour soins, gite et couvert !
1/ L’installation de l’institution Sainte Jeanne d’arc, selon les archives des religieuses de la Congrégation de St Joseph de Cluny, sur l’Avenue de la république, s’est faite à la rentrée scolaire de novembre 1939 et non en 1816 ;
2/ Le seul naufrage de la Méduse en 1816 s’est passé vers la Mauritanie (banc d’Arguin) et ne transportait aucune sœur de St Joseph de Cluny puisque la frégate n’avait à son bord que des marins et des militaires ;
3/ La vraie histoire du radeau de la Méduse fait tomber à l’eau, cette fable d’une imaginaire Méduse qui aurait fait naufrage à quelques encablures de la presqu’île du Cap-Vert. Tout ça rien que pour donner raison à des suppôts du diable qui cherchaient à embraser le pays et avaient tenté de présenter l’Institution Sainte Jeanne d’Arc comme une école « française laïque et publique qui combat l’Islam ». Heureusement que les Sénégalais dans leur grande majorité ont compris aujourd’hui que c’était une affaire montée de toutes pièces, un grossier mensonge cousu de fil blanc, un prétexte tout trouvé, pour effacer les Catholiques de l’Histoire du Sénégal, le tout orchestré par un groupe adepte d’un islam radical, instigateur de ce battage médiatique, tous azimuts. Mais grâce à la divine Providence, leur sinistre entreprise d’écraser et anéantir un fleuron de l’enseignement privé catholique, un projet mort-né, va finir en eau de boudin, peine perdue pour ces néophytes d’une idéologie étrangère et haineuse.
SEULE LA VERITE NOUS RENDRA LIBRE !!!
Dieu sauve le Sénégal