Il y a cinq ans, certains de nos présidents ont cru bon de s’afficher à la manifestation de soutien à l’hebdo iconoclaste de Paris.
Par devoir et par nécessité, ils sont partis réaffirmer tout leur soutien à la France dont la présence en Afrique n’est jalonnée que de souffrances. dans ces cohortes de manifestants blancs, ils étaient des taches noires dont la présence n’était, officiellement, justifiée que par le soutien à la liberté de presse. Une liberté qui prévaut sur celle de milliards de fidèles musulmans, qui agresse leur foi et qui caricature leur Prophète.
Une liberté de la presse que peu d’entre eux respectent dans leur propre pays. Un païen ou un libre penseur ne pourra jamais apprécier la dimension de notre cher Prophète dans notre corps, notre cœur et nos âmes. Ces Occidentaux ne se posent guère les questions essentielles et existentielles de notre attachement à l’Islam.
Tous les matins, l’Islam progresse partout dans ce monde. Et chez eux, les paroisses se dépeuplent, leurs prêtres, ces ministres du culte et du c… parce que pédophiles invétérés sont démasqués régulièrement. déjà en suède, les femmes tiennent bien les choses en main. Une improbabilité en Islam où la Charia a dorénavant tout réglementé ! Et c’est vrai que de temps en temps, on peut lire que des femmes dans tel ou tel pays dirigent la prière ou célèbrent des mariages. de simples brebis égarées !!! Elles n’œuvrent qu’au bénéfice de satan.
Tous ceux qui combattent l’Islam depuis la nuit des temps ne sont pas prêts à déposer les armes. En cinq ans beaucoup d’eau a coulé sous les ponts. Où sont ces dignitaires aux pouvoirs exorbitants qui clamaient être des Charlie ? Sous terre et sur terre et en passe de tout perdre ! Ils sont si cupides qu’ils ne sont guère prêts à lâcher le pouvoir.
A 80 ans passés, ils manœuvrent pour mourir au pouvoir. Pour deux pays africains, c’est déjà acté. Pour notre pays, les politiciens de tous bords sont convaincus que le président franchira le Rubicon. Et tout le monde sait que les politiciens peuvent se dépêtrer de toutes les situations possibles. Nous attendons impatiemment la décision de l’actuel locataire du Palais qui ne peut que respecter la Constitution. Hélas, mauvais présage, tous ceux qui abordent le sujet dans le mauvais sens sont illico presto limogés.
Mais le dernier mot reviendra à ce peuple qui a longtemps frayé avec les politiciens de tout acabit pour se laisser berner. Il est encore heureux que l’hebdo parisien ait perdu la plupart de ses soutiens africains après avoir reproduit ce qui a causé les attentats ayant décimé sa rédaction. Nous, on s’en fout de Charlie !