La méchanceté utilise le mensonge pour s’exprimer. Voilà une expression qui colle bien à l’attitude déshonorante du sieur Bocoum qui a du mal à digérer la position de l’actuel premier ministre, parti du néant, mais à force de résister avec courage et abnégation, le triomphe de son combat l’a amené à devenir aujourd’hui le chef du gouvernement du Sénégal à la faveur d’un fort élan de solidarité de la part de pans entiers de Sénégalais..ses qui ne ratent pas l’occasion de lui manifester leur soutien à la moindre occasion.
N’en déplaise au leader de AGIR dont le mouvement tel, un alvéole politique qui tiendrait difficilement dans une cabine téléphonique.
Je serai obligé de descendre d’un cran, mais pas plus bas, jusqu’à ton niveau afin de ne pas déroger à la règle qui veut: qu’en luttant avec un cannibale, on peut tout se permettre sauf de le manger.
En portant cette réplique dans le souci de rétablir une vérité connue de tous à part certains pseudo-intellectuelles aux pitreries burlesques , refusant catégoriquement de voir la réalité des choses et qui veulent entretenir un débat au ras de pâquerettes à propos de la DPG du premier ministre. L’art du « Mentir vrai » a pris le dessus sur l’exercice de dire la vérité. Or, la réalité des faits est que, cette assemblée nationale a été rattrapée par son passé, et elle se trouve aujourd’hui victime de son laxisme, pour n’avoir pas pris au sérieux les textes règlementant ses méthodes et procédures à travers lesquelles, elle devait réactualiser l’existence du poste de premier ministre supprimait à la surprise générale par l’ancien président de la République Macky sall en 2019.
Si pour autant, la bonne foi et l’honnêteté intellectuelle, les caractérisent un tant soi peu, ces éternels mécontents auraient dû s’en prendre aux parlementaires qui avaient béni cette décision de suppression du poste de Premier Ministre au lieu de nous pomper avec l’air du mensonge, de la désinformation et de la manipulation.
Monsieur le préposé qui joue à l’opposant de salon « radical » tu te trompes de cible, car votre ennemi ce n’est pas nous, PASTEF, encore moins la personne de Ousmane Sonko, votre principal ennemi c’est votre impopularité, et on comprend des lors le jeu favori des éternels oubliés de la classe politique, qui pour sortir dans les méandres de la torpeur, ne trouvent d’autres moyens plus efficaces que de s’attaquer à la personne de Ousmane Sonko pour espérer sortir de l’anonymat.
Le sieur Bocoum et les autres personnes de son acabit souffrent d’une pathologie chronique incurable, et font partie de la race des paranoïa cliniquement instables et allergiques à la moindre prononciation du nom de Ousmane Sonko. L’avidité et la frénésie incontrôlées qui leurs animent, ne sont que la résultante d’un refus de croire au destin d’un homme qui intellectuellement et politiquement n’est pas votre ego.
Au moment de faire face à un régime aux méthodes tyranniques à travers des brimades et autres mesures tortionnaires et de confiscation de libertés individuelles et collectives, il était au cœur des braises pour maintenir le flambeau de la résistance, alors que vous, vous étiez muets comme une carpe en rasant les murs.
De mort-né à retraité politique anticipé, voilà une situation à laquelle vous tentez vainement de sortir.
Quant au PASTEF et son leader que vous essayez de diaboliser, nous avons la carapace dure et résistante face à vos diatribes, et ne manqueront pas d’apporter la réplique nécessaire pour déconstruire vos fausses allégations.
A tous ceux qui s’agitent à travers des manipulations, sachez que le courage lucide de SONKO continuera de faire des émules auprès de pans entiers de la population sénégalaise et même africaine dont les aspirations légitimes au changement continuent de résonner dans les cœurs et les esprits de tous les patriotes épris de justice, d’égalité et de paix.
Ce pays va changer avec ou sans votre apport pour le bonheur des sénégalais.
Jub, jubbal,jubbanti.
Babou Bamba
PASTEF Grand Yoff