Le berceau africain des Peulhs se trouve dans la zone saharienne du Tassilit. Comme en attestent les peintures rupestres les montrant avec cette caractéristique psychosomatique qui leur est particulière. C’est-à-dire grands, minces, traits fins, de couleur ocre (Bodédio). Mais aussi en tenue de cosmonautes.
Ce qui vient d’être dit, balaie d’un revers de la main les thèses qui, toutes, les faisaient venir du Moyen Orient.
Notre vision de l’Atlantide est qu’il s’agissait d’un subcontinent se trouvant entre les Iles Canaries, jouxtant l’ile de Madère. Et qui s’étendait vers le sud jusqu’au milieu de l’Océan Atlantique.
Un évènement géologique exceptionnel, relevant du mouvement tectonique, a provoqué un glissement extrêmement rapide de l’Atlantide vers l’Antarctique, c’est-à-dire le Pôle Sud. Ce mouvement a créé un giga tsunami si haut que le ciel et la terre ne faisaient qu’un. Coran, Sourate 11, Versets 43 à 50. Certaines sources sont plus prolixes. Entre autres l’Histoire inconnue des Hommes depuis Cent Mille Ans de Robert Charroux. Ce fut un des effets de cet évènement unique et planétaire qu’on appelle Le Déluge, dont l’une des conséquences est le repli de l’Océan Atlantique depuis le Lac Tchad qui en faisait partie. Permettant le devenir de contrées qui nous séparent du Lac Tchad. Y compris la nôtre.
Les quelques rescapés de cette disparition de l’Atlantide sont ces « cosmonautes » dont les images sont immortalisées par les peintures rupestres du Tassilit.
Voici donc comment les Peulhs sont arrivés de ce continent à l’origine de la technologie des pyramides égyptiennes et, même, peut- être, de la Tour de Babel.
C’est ainsi qu’il faut comprendre que l’ensemble des montagnes et collines pourvues de grottes abritant les peintures en question étaient disposées d’ouest en est. Et constituaient des relais entre l’Egypte et l’Atlantide.
Une fois dépourvus de leurs technologies, ces anciens « cosmonautes » sont devenus des pasteurs, utilisant toujours leurs vieilles connaissances pour naviguer, en se faisant guider par les étoiles. Cette technique est toujours utilisée pour leurs déplacements dans les grands espaces africains.
Le Peulh est au centre de nos langues, de nos cultures, de notre système de réflexion, de notre finance, de notre commerce. Il est la première matrice africaine. Nos langues ne sont que des dialectes peulhs. Le wolof, le sérère, le sonrai, le djerma……….Autant de dialectes peulhs que la plupart ignore.
Ayons un nouveau regard avec beaucoup de considération pour ce peuple au passé exceptionnel.
DR AHMED KHALIFA NIASSE