A quelques encablures de la fin de la campagne électorale du référendum du 20 mars 2016, Me Ousmane Ngom avait jeté un pavé dans la mare à travers une sortie plus que malheureuse : «Les opposants se sont coalisés avec des forces extrémistes (…) C’est un programme du Non, dans lequel les responsables montrent comment ils veulent rendre illégitime le pouvoir actuel en allant à des élections anticipées. Pour y arriver, c’est la manipulation, la désinformation, l’intoxication et surtout le recrutement de nervis, de milices et une alliance avec des groupes d’extrémistes.»