Le « Segou » de Maryse Condé est une pièce délicieuse de l’époque où je « faisais » ma négritude, effectuant — comme tout créole américain, jusqu’aux vieux troubles de l’impossible –, mon retour symbolique vers l’Afrique.
Le continent perdu nous était restitué dans une merveilleuse épique et un art narratif qui me ravit encore.
Don essentiel.
Présence solide dans l’en-commun du grand désenchantement et le retour (créatif, créateur) vers nous-mêmes.
Merci madame.